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mercredi 17 mars 2021

 

 La chasse à la glu cause un dommage « irrémédiable » à tous les oiseaux capturés, a estimé mercredi la Cour de justice de l’Union européenne, ouvrant la voie à une interdiction en France de cette méthode de chasse controversée pour l’instant suspendue.

« Un Etat membre ne peut pas autoriser une méthode de capture d’oiseaux entraînant des prises accessoires dès lors qu’elles sont susceptibles de causer aux espèces concernées des dommages autres que négligeables », a indiqué la Cour dans un communiqué, un arrêt salué par la Ligue de la Protection des oiseaux comme « une grande victoire ».

Fin août 2020, le président Emmanuel Macron avait annoncé la suspension de cette méthode de chasse qui consiste à piéger des oiseaux sur des tiges enduites de colle. Les petits oiseaux ainsi capturés sont mis en cage et servent, en chantant, à en attirer d’autres pour les chasseurs.

Mais la méthode destinée aux grives et aux merles conduit à la capture d’autres espèces, une non-sélectivité dénoncée depuis longtemps par les défenseurs de l’environnement.

En septembre, le Conseil d’Etat avait rejeté une demande des chasseurs de revenir sur cette suspension, mettant en avant des doutes sur la compatibilité de la chasse à la glu avec les dérogations permises par la directive européenne « oiseaux » de 2009 et attendant les précisions d’interprétation demandées à la Cour européenne.

La Cour a estimé mercredi que « en dépit d’un nettoyage, les oiseaux capturés subissent un dommage irrémédiable, les gluaux étant par nature susceptibles d’endommager le plumage de tous les oiseaux capturés ».

La justice européenne a également rejeté l’argument culturel: « le maintien d’activités traditionnelles ne saurait constituer une dérogation autonome au régime de protection » de la directive « oiseaux ».

La France est le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu, seulement dans cinq départements du sud-est (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse).

« Je suis partagé entre le bonheur et l’amertume d’avoir perdu tant de temps pour protéger les oiseaux », a déclaré à l’AFP le patron de la LPO Allain Bougrain-Dubourg.


© AFP

mardi 23 juin 2015
Le principal négociateur du Japon à la Commission baleinière internationale (CBI) a confirmé lundi l'intention de son pays de poursuivre son programme de chasse à la baleine dans l'Antarctique, priant l'instance de juger sur des critères scientifiques et non politiques.

Les 200 experts de la CBI, qui se sont retrouvés pendant deux semaines à San Diego en Californie entre le 22 mai et le 3 juin, ne sont pas parvenus à tomber d'accord sur la réponse à apporter au programme japonais de chasse «scientifique» à la baleine en Antarctique, selon le rapport de leur réunion annuelle publié vendredi dernier.

«Il n'y a aucune conclusion définitive dans le rapport lui-même, ce qui n'est pas si surprenant puisque nous savons très bien que la CBI est une organisation divisée», a déclaré lundi Joji Morishita, qui défend la cause du Japon à la CBI, lors d'une conférence de presse à Tokyo.

«En raison de cette division, même le comité scientifique a toujours des difficultés à aboutir à une sorte de conclusion», a-t-il critiqué.

M. Morishita avait déclaré vendredi que le Japon entendait toujours conduire son nouveau programme qui prévoit de capturer 3996 petits rorquals (ou baleines de Minke) en Antarctique dans les 12 prochaines années.

Toutefois, «il n'est pas opportun de dire à ce stade si nous reprendrons nos activités de pêche à partir de cet hiver ou non», a-t-il tempéré lundi, Tokyo voulant afficher une attitude de bon élève, se conformant aux règles internationales.

«Nous allons essayer de fournir le plus d'éléments scientifiques possible afin d'obtenir le feu vert de ce comité», a réaffirmé le négociateur japonais en déplorant que «cela soit une histoire sans fin».

Contraint de renoncer à chasser la baleine en Antarctique pour la saison 2014-2015 suite à un arrêt de la Cour internationale de Justice (CIJ), le Japon a présenté fin 2014 à la CBI un nouveau plan de chasse aux cétacés à des fins scientifiques.

Tokyo affirme que ce plan révisé permettra une meilleure compréhension des écosystèmes marins de l'Antarctique et a promis de limiter la période de recherche à 12 années à partir de l'exercice 2015-2016.

Interrogé sur la position des experts occidentaux, M. Morishita a souligné qu'on pouvait en trouver «un ou deux» favorables aux recherches du Japon en Antarctique.

Le haut fonctionnaire nippon considère que la logique à l'oeuvre dans le cas de la pêche à la baleine est dangereuse pour la conduite des politiques environnementales dans le monde.

«Si on continue comme ça, je crains qu'un pays doté d'un pouvoir politique international puisse imposer ses normes et son éthique aux autres», ce qui s'apparenterait à un «impérialisme de l'environnement», s'est-il inquiété.

«Par exemple, si l'Inde devenait la première puissance mondiale et commençait à dire "il ne faut pas manger de boeuf", que ferions-nous?», a argué M. Morishita.

Dans son arrêt de mars 2014, la CIJ a estimé que les Japonais détournaient à des fins commerciales une activité présentée comme étant destinée à la recherche animale.

Source © AFP
vendredi 22 mai 2015
La Zambie a réautorisé la chasse aux lions et aux léopards interdite depuis janvier 2013 après un scandale de corruption à la tête de l'organisme public chargé de la protection de la nature et des permis de chasse.

Voilà qui va réjouir les amateurs de safari... La chasse aux lions et aux léopards est à nouveau ouverte en Zambie. Ce pays d'Afrique australe avait rouvert les safaris de chasse pour les autres espèces sauvages en août 2014 afin de refaire entrer de l'argent dans les caisses de l'Etat grâce aux droits de chasse. 

"Pour les lions cela démarrera durant la saison de chasse 2016 et 2017 et de façon très prudente", a précisé la ministre du Tourisme Jean Kapata, tandis que pour les léopards, la chasse sera rouverte cette année. 

"Nous nous sommes assurés qu'il n'y aura plus de plaintes pour corruption et que seules les personnes répondant aux critères puissent avoir un permis", a-t-elle ajouté. 

Assez de lions et de léopards pour pouvoir les chasser

Le nombre de lions en Zambie est estimée à environ 4000 et la population de léopards à 8000, un niveau jugé satisfaisant et suffisant pour rouvrir la chasse, a aussi indiqué la ministre. 

La chasse au gros gibier est courante dans toute l'Afrique australe et génère des recettes substantielles grâce aux permis délivrés selon un système de quotas et rachetés par des agences de safaris spécialisées. Bien que controversée, la chasse est considérée par de nombreux experts comme un moyen efficace de protection de la faune sauvage à long terme. 

Au Botswana, des avocats tentent d'obtenir la levée de l'interdiction de la chasse à l'éléphant, imposée en janvier 2014 par le gouvernement comme sur toutes les espèces sauvages. De sources de revenu, les éléphants sont devenus désormais une nuisance aux yeux d'une partie de la population locale qui se plaint qu'ils détruisent les récoltes. 

Source © L'express







jeudi 21 mai 2015
L'espèce est pourtant menacée d'extinction. Un chasseur du Texas a payé 350 000 dollars le droit de tuer un rhinocéros noir en Namibie. 

Il a affirmé que l'argent versé aux autorités namibiennes irait à la protection de l'espèce, rapporte CNN (en anglais), mercredi 20 mai. Une équipe de télévision de la chaîne américaine a filmé la chasse.

Depuis 2012, la Namibie a vendu des licences de chasse pour cinq rhinos, assurant que l'argent est utilisé pour financer des projets de protection de la nature et de lutte contre le braconnage. Les rhinocéros assignés aux chasseurs sont choisis parmi les animaux trop vieux pour se reproduire, selon les autorités.

Cinq mille rhinos noirs en Afrique

Corey Knowlton, 36 ans, avait gagné le droit de tuer son rhinocéros noir lors d'enchères très controversées organisées à Dallas en 2014, qui avaient provoqué la fureur d'associations de protection des animaux. "Le monde entier a entendu parler de ma chasse, et je pense qu'il est très important que les gens sachent que ça s'est bien passé, de la façon la plus scientifique possible", a déclaré le chasseur à CNN.

"Depuis le début, j'ai toujours pensé que c'était quelque chose de bénéfique pour le rhino noir", a-t-il affirmé. "Faire cette chasse, avec la masse de critiques, d'un côté, et la masse de félicitations, de l'autre... Je ne crois pas qu'on aurait pu faire plus pour faire parler du rhino noir. Je pense que les gens ont un problème juste parce que j'aime la chasse (...). Mais je souhaite que le rhino noir soit le plus abondant possible. Je crois à la survie de cette espèce".

Selon l'Union internationale pour la conservation de la nature, il restait 850 000 rhinos noirs en Afrique au début du XXe siècle. Leur nombre était tombé à 2 400 en 1995, avant que des efforts de sauvegarde n'augmentent leur nombre à environ 5 000. 

Source © AFP

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lundi 11 mai 2015
Le rythme du massacre des rhinocéros s'est encore accéléré en Afrique du Sud, avec 393 animaux tués par des braconniers sur les quatre premiers mois de l'année. 

C'est 18% de plus que pour la même période en 2014, selon la ministre de l'Environnement Edna Molewa.

Le célèbre parc national Kruger, à la frontière avec le Mozambique, reste le plus touché: 290 animaux y ont été abattus, contre 212 un an plus tôt, a précisé la ministre lors d'une conférence de presse.

Cette progression du braconnage malgré l'intervention de l'armée est d'autant plus inquiétante que l'on approche du moment où la mortalité va être supérieure aux naissances parmi les quelque 20'700 rhinos sud-africains, qui représentent environ 80% de la population mondiale.

Elle s'explique par la vente à prix d'or des cornes en Asie, en particulier au Vietnam où elles sont prisées dans la médecine traditionnelle. La corne des rhinocéros est pourtant exclusivement composée de kératine, comme les ongles humains.

Les records sont tristement battus les uns après les autres: les statistiques officielles montrent que 1215 rhinocéros avaient été abattus par des braconniers en Afrique du Sud en 2014, contre 1004 en 2013, 668 en 2012, 448 en 2011, 333 en 2010, 122 en 2009, 83 en 2008 et seulement 13 en 2007.

En-deçà de la réalité

Or, de nombreux spécialistes estiment que ces chiffres sous-estiment la réalité, des carcasses échappant au macabre recensement des rangers.

Edna Molewa a quand même voulu se montrer optimiste dimanche, estimant que les efforts du gouvernement sud-africain pour lutter contre le braconnage "portent leurs fruits" même si certaines stratégies doivent être affinées.

"Nous sommes sur le pied de guerre, nous pensons vraiment que ce combat devra être gagné et nous allons gagner", a-t-elle déclaré, notant que le nombre d'arrestations progresse.

Les autorités sud-africaines ont mis à l'abri des rhinocéros du parc Kruger dans des zones spécialement protégées et 192 bêtes ont été placées ailleurs en Afrique du Sud et dans les pays voisins. Plus de 200 rhinocéros doivent également être vendus au secteur privé.


Source © ATS  



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mardi 3 février 2015
La saison de la chasse aux oies est officiellement terminée pour cause de migration prénuptiale. Pourtant, la ministre de l'écologie a trouvé le moyen de la prolonger de 8 jours, contre l'avis du Conseil d'État.

Les chasseurs d'oies ne seront pas verbalisés avant le 9 février 2015, malgré la fermeture de la chasse le 31 janvier, selon des instructions de Ségolène Royal dénoncées vendredi par des ONG, qui l'accusent de complicité de "braconnage". Certes, la ministre de l'Ecologie, dans une lettre adressée à l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) et aux préfets, rappelle que "la date de fermeture de la chasse des oies est fixée au 31 janvier" et demande qu'une "action d'information" soit menée pour "en prévenir les chasseurs". Mais une précision est à l'origine de la querelle : "La verbalisation prendra effet à compter du lundi 9 février".

Incitation au braconnage ou période de transition ?

L'Association pour la protection des animaux sauvages (ASPAS) et la Ligue de protection des oiseaux (LPO) ont toutes deux accusé Ségolène Royal de permettre ainsi le "braconnage" des oies. La ministre a affirmé à l'AFP avoir pris une décision "d'équilibre et de justice", jugeant "équitable de faire cette petite période transitoire", sans verbalisation des chasseurs. On se demande alors pourquoi cette période transitoire ne serait appliquée qu'aux seules oies. Par ailleurs, Madame Royal a envoyé vendredi 30 janvier 2015 un courrier à la Commission européenne, dans lequel elle l'interroge sur "l'utilisation possible" d'une procédure de dérogation à la directive "Oiseaux" pour "permettre la prolongation de la chasse". Ces espèces d'oies sont "en très bon état de conservation", souligne-t-elle. La ministre s'interroge aussi sur une "évolution possible" de la date de fermeture prévue dans la directive européenne, en raison des dégâts causés par les oies dans certains pays, comme les Pays-Bas et la Belgique.

L'Europe appelée à arbitrer

Le Conseil d'Etat avait annulé en décembre dernier un arrêté du ministère de l'Ecologie qui prolongeait de dix jours la chasse aux oies. Ségolène Royal ne prend pas "le risque de voir un nouvel arrêté retoqué par la justice, mais a choisi une autre stratégie, plus sournoise, pour laisser les chasseurs braconner les oies: celle de ne pas les verbaliser", écrit l'ASPAS dans un communiqué. Son courrier "est clairement une incitation à braconner pendant 8 jours", estime la LPO. L'ONG a "mobilisé tout son réseau pour relever les infractions" et entend informer la Commission européenne "pour qu’une suite soit donnée au comportement français."

 Le 30 janvier 2014, le ministère de l’Écologie avait publié un arrêté repoussant les dates de fermeture au 10 février de la même année pour la chasse de l'oie cendrée (Anser anser), de l'oie des moissons (Anser fabalis) et de l'oie rieuse (Anser albifrons). Cette décision avait été prise sous la pression des chasseurs, selon les associations de défense de la nature. La fin de la chasse aux oies sauvages est normalement fixée au 31 janvier de chaque année pour se conformer à la directive européenne "Oiseaux" selon laquelle les oiseaux migrateurs ne doivent pas être chassés durant leur migration prénuptiale. Mais les chasseurs réclament chaque année une prolongation jusqu'au 10 février. Déjà en 2014, le ministère de l'Ecologie avait justifié sa prolongation en expliquant notamment que la population d'oies cendrées était "en pleine expansion" et en mettant en avant une "nécessaire régulation" de l'espèce. Reste que le Conseil d'Etat a quant à lui plusieurs fois arbitré en faveur des ONG.


Source © AFP

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