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lundi 9 novembre 2015
Un nouveau cyclone inhabituel s'est abattu dimanche sur l'île yéménite de Socotra, faisant au moins deux morts et des dizaines de blessés, selon une source gouvernementale.

Le cyclone Megh a provoqué la panique et a poussé un ministre à lancer un "appel urgent" à l'Onu et au sultanat voisin d'Oman pour "sauver" la population.

Des vents violents, de fortes pluies et de brusques inondations ont été signalés au moment où Megh a touché l'île qui avait déjà été gravement affectée la semaine dernière par le cyclone Chapala, ont indiqué des habitants.

Socotra est située à 350 kilomètres au large des côtes sud-est du Yémen.

Un homme et une femme ont péri dans l'effondrement de leurs habitations, a déclaré à l'AFP une source gouvernementale qui a fait état de "dizaines de blessés" dans un bilan provisoire. 

"Un évènement absolument extraordinaire"

Les cyclones tropicaux sont très rares sur la péninsule arabique. L'arrivée de deux à très courte intervalle est "un évènement absolument extraordinaire", a souligné la porte-parole de l'OMM.

Selon le Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations unies (OCHA), quelque 44.000 personnes ont été déplacées par le cyclone Chapala qui a touché les côtes du Yémen mardi dernier, détruisant 237 habitations sur son passage.

Le Yémen est gravement affecté depuis mars par une guerre qui oppose des forces progouvernementales appuyées par l'Arabie saoudite sunnite à des rebelles alliés à l'Iran chiite.

Le conflit a fait quelque 5.000 morts, dont plus de la moitié de civils, et 25.000 blessés.


Source © Belga
jeudi 5 novembre 2015
C'est un nouveau coup dur pour le Yémen qui est déjà en proie à une guerre civile meurtrière. Le cyclone tropical Chapala, d'une rare violence pour cette région du globe, a frappé le pays causant des dégâts considérables sur des infrastructures, mais également sur des territoires aux mains de la branche locale d'Al-Qaïda. 

Ainsi, le port de Mukalla, dirigé par un conseil tribal et des militants d'Al-Qaïda depuis que les institutions de l'armée et du gouvernement se sont retirées en avril dernier, a notamment été balayé par la tempête. «Le niveau de la mer a augmenté de neuf mètres et a détruit le front de mer de Mukalla», a déclaré un résident, Muhammed Ba Zuhair. 

L'homme a ajouté que «beaucoup de gens ont quitté leur maison et cherchent refuge dans des écoles», déplorant qu'aucune aide ou secours n'avaient été apportés pour les populations sinistrées, ni par le conseil tribal, ni par Al-Qaïda.

L'Organisation météorologique mondiale avait initialement évalué la tempête comme «potentiellement très dangereuse», mais avait peu de temps après rétrogradé cette évaluation à «très sévère», tandis que les vents avaient ralenti à 150 km/h.

Des cartes satellites ont montré que la tempête, après avoir débuté sur l'île de Socotra, à 380 km des côtes yéménites en mer d'Arabie, a touché la ville de Bal'haf où se trouve le site du terminal gazier du Yémen, avant de faiblir en arrivant sur la capitale Sanaa dans le Nord du pays. Bal'haf est principalement contrôlée par les géants de l'énergie Total et Hunt Oil.

Le bureau humanitaire de l'ONU a déclaré quant à lui que Chapala s'était surtout fait sentir dans les régions côtières du sud de Shabwah et Hadramaout, où 1,4 million de personnes sur les 1,8 million de résidents nécessitent une aide humanitaire en raison de la guerre qui se poursuit au Yémen. A Taiz, troisième plus grande ville du Yémen, les combats ont d'ailleurs continué, même pendant la tempête. 21 rebelles houthis ont été tués dans des frappes aériennes.

A Socotra, des torrents d'eau ont inondé les rues de la capitale de l'île, Hadibu. «Trois personnes ont été tuées, environ 100 ont été blessées», a déclaré un responsable local. 

Mohammed Alarqbi de l'Office de l'Environnement de Socotra a déclaré que, suite aux pluies torrentielles qui se sont abattues sur les villages côtiers pauvres, «environ 1 500 familles avaient fui vers l'intérieur du pays ou dans les montagnes», ajoutant qu'il«n'y a absolument aucune aide venant de l'extérieur». 

En Arabie saoudite, ces intempéries extrêmes ont déjà causé la mort de 6 personnes, et au total, dans la région, plus de 19 personnes ont perdu la vie. 50 sauvetages ont été effectués.

Source © RT France








mardi 3 novembre 2015
Le cyclone Chapala, marqué par des vents violents et de fortes pluies, a frappé dans la nuit de lundi à mardi les côtes du sud-est du Yémen, provoquant des inondations, des dégâts et des victimes, a indiqué un ministre.

"Les dégâts sont énormes et des pertes humaines sont à déplorer", a déclaré à l'AFP Fahd Kafaën, ministre de la Pisciculture et membre de la commission de suivi du cyclone. Il n'a pas été en mesure de fournir immédiatement un bilan des victimes.

Les vents soufflaient encore à plus de 100 km/heure dans la matinée et de fortes vagues balayaient les côtes des provinces du Hadramout, de Chabwa et d'Al-Mahra, a précisé le ministre.

Des images mises en ligne sur les réseaux sociaux montrent des quartiers inondés à Moukalla, capitale du Hadramout, avec des véhicules totalement submergés.

Le cyclone, qui s'était formé en Mer d'Arabie, a fait plus de 200 blessés lors de son passage sur l'île yéménite de Socotra, située en face du Golfe d'Aden.

Il a eu en revanche un impact très limité dans le sultanat d'Oman, selon les autorités de ce pays.

L'Organisation météorologique mondiale (OMM), une agence spécialisée des Nations unies, avait mis en garde vendredi le Yémen et Oman contre l'arrivée d'un "cyclone tropical très rare et potentiellement à fort impact".

Source : Afp


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vendredi 3 avril 2015
À Weno, la capitale de l’État de Chuuk, en Micronésie, 60 à 80% des maisons ont été détruites par le passage du cyclone Maysak, laissant plus de 6 000 personnes sans toit.

C’est ce qu’indique le responsable de la Croix-Rouge dans les États fédérés de Micronésie, Isao Frank Jr. Si le nombre de victimes reste contenu, l’économie de ces îles micronésiennes a été durement frappée, témoigne-t-il :

« Les gens sont pratiquement hors de danger, mais certains sont réfugiés dans des écoles ou des maisons de villages, et ils demandent l’aide du gouvernement ainsi que de tous ceux qui pourraient leur apporter leur soutien. Dans certaines îles, 100% des cultures ont été détruites, et plusieurs bateaux ont coulé. »

Les voisins des États fédérés de Micronésie ont déjà répondu à cet appel à l’aide : l'Association maritime du Pacifique a envoyé un avion pour évaluer les dégâts sur l'atoll d’Ulithi, particulièrement touché par le cyclone, et Guam a préparé des kits médicaux, qui doivent être livrés bientôt, soit par avion, soit par bateau.

Le cyclone Maysak se dirige maintenant vers les Philippines. Même s’il perd en intensité, il pourrait provoquer de grosses vagues lors de son passage, dans la nuit de samedi à dimanche.

Il devrait toucher les Philippines tard samedi ou tôt dimanche. 

L'agence météo nationale a prévenu de "possibles inondations dans les régions de plaines et de glissements de terrain dans les reliefs" ainsi que de "vagues de 4 mètres" sur le littoral des îles de Samar, Bicol et Aurora. Vivres et matériel d'urgence ont été "pré-positionnés" et les communes situées sur la trajectoire de la tempête placées en état d'alerte. Les pêcheurs sont invités à ne pas sortir en mer et le gouvernement devait ordonner le maintien à quai des navires de transport de passagers. 

Maysak s'est formé deux semaines après le puissant cyclone Pam qui a dévasté le 13 mars le Vanuatu, archipel du Pacifique sud, où 11 morts ont été officiellement recensés. Les Philippines sont elles encore sous le choc du super-typhon Haiyan qui avait fait 7 350 morts ou disparus en novembre 2013. 

jeudi 19 mars 2015
Le cyclone Nathan qui circule au large de l’Australie depuis plusieurs jours se renforce actuellement et va toucher le Queensland durant la journée.

Le cyclone Nathan est né il y a plus d’une semaine dans la zone où il se trouve actuellement au large de l’Etat du Queensland au nord-est de l'Australie. Demeuré peu actif et peu mobile en mer de Corail pendant plusieurs jours, il a pris de l’ampleur ces dernières heures pour redevenir un cyclone, de catégorie 3.

Il se dirige maintenant vers l’ouest, en direction de la côte qu’il touchera dans les heures à venir en catégorie 3 à 4, avec des vents destructeurs compris entre 220 et 260 km/h, en plus de la pluie très intense. C’est la région située entre le Cap Melville et Cooktown qui sera la plus impactée. Des consignes d’évacuation ont déjà été données, notamment pour les personnes habitant dans les zones littorales pouvant être endommagées par les vagues particulièrement destructrices

Par la suite, le cyclone s’affaiblira en rentrant dans les terres, au nord du Queensland, redevenant une tempête tropicale. Le système ne disparaitra pas pour autant. Il reprendra même de la vigueur en passant de nouveau au-dessus des eaux surchauffées du Golfe de Carpentaria, redevenant de ce fait de nouveau un cyclone (de catégorie 1). Celui-ci pourrait ensuite toucher la côte de la province des Territoires du Nord en début de semaine prochaine.

Source © Actu Meteo



lundi 16 mars 2015
Le président du Vanuatu a appelé à l'aide la communauté internationale lundi après le passage dévastateur du cyclone Pam sur cet archipel du Pacifique Sud où les associations humanitaires éprouvaient les pires difficultés pour secourir les habitants.

Baldwin Lonsdale, président de ce pays parmi les plus pauvres du monde, a expliqué, la voix étranglée par l'émotion, que les besoins étaient immenses.

Le cyclone de catégorie 5 - la plus élevée - a ravagé l'archipel de 270.000 habitants vendredi, accompagné de rafales de vent supérieures à 320 km/h.

"Dans l'immédiat, il nous faut un soutien humanitaire, à plus long terme nous avons besoin d'une aide financière et d'assistance pour commencer à reconstruire nos infrastructures. Nous avons tout à reconstruire", a dit le chef de l'Etat à l'AFP au moment de quitter le Japon, où il participait à une conférence des Nations unies sur la prévention des catastrophes naturelles. "C'est un coup dur pour l'ensemble du pays".

Plusieurs pays ont d'ores et déjà répondu présent, tandis que des avions militaires français, australien et néo-zélandais ont débarqué dans l'archipel chargés de vivres.

Le bilan officiel fait état de six morts et plus de 30 blessées, toutes à Port-Vila, capitale de cet ancien condominium franco-britannique des Nouvelles-Hébrides. Mais les autorités craignent qu'il ne s'alourdisse tandis que l'étendue exacte des dégâts et besoins dans les plus de 80 îles qui constituent l'archipel est difficile à mesurer.

Les associations internationales expliquaient n'avoir aucun moyen de distribuer les vivres dans les îles les plus reculées. Il faudra des jours, disent-elles, pour réussir à atteindre chaque village rasé par la tempête et elles craignent désormais la propagation de maladies.

Il faut évaluer rapidement les besoins en eau potable, en toilettes portatives, en pastilles de purification de l'eau, a expliqué le directeur de l'ONG Oxfam pour le Vanuatu, Colin Colette.

En première ligne du changement climatique

"La première urgence, c'était le cyclone, la deuxième urgence, ce sera les maladies si l'eau potable et les conditions d'hygiène sont insuffisantes", a-t-il dit. "Il y a vraisemblablement 100.000 sans abris, les écoles sont détruites, les centres d'hébergement sont pleins, les cliniques et la morgue sont endommagées".

Pour le directeur de l'ONG Save the Children, Tom Skirrow, les conditions sont pires qu'après le super typhon Haiyan, qui a ravagé les Philippines en novembre 2013, faisant plus de 7.350 morts et disparus.

"J'étais là pour Haiyan et je peux vous dire à 100% que la logistique est bien plus problématique ici", a-t-il dit à l'AFP.

D'après Tom Skirrow, 15.000 habitants ont perdu leur logement dans la seule capitale. Le survol d'îles les plus excentrées a confirmé des dégâts mais les ONG ne savent pas où en sont les habitants. "Je suis absolument certain qu'au moins 150.000 personnes ont été touchées de manière significative, et parmi elles, 75.000 sont des enfants".

Charlotte Gillan, une soignante australienne qui habite le village de Tango, près de Port-Vila, a expliqué que sa maison s'était partiellement effondrée, ajoutant craindre les épidémies. "Avec toute cette pluie et les détritus qui abondent, il va y avoir la malaria et la dengue, la contamination de l'eau va provoquer diarrhées et vomissements. Les gens dépendent de leur potager pour manger, mais tout ça a disparu", a-t-elle expliqué à l'Australian Associated Press.

Les associations préparent des vivres mais il faudra vraisemblablement trois jours pour nettoyer les aéroports des îles reculées et pouvoir les distribuer.

Les pays du Pacifique se considèrent en première ligne du changement climatique, les îles océaniques étant particulièrement exposées à la montée des eaux.

Le président Lonsdale a estimé que le "changement climatique" avait "contribué au désastre". "Nous assistons à la montée du niveau de la mer, à la modification des schémas météorologiques", a-t-il dit. "Cette année, nous avons eu plus de pluie que les années précédentes".

Les communications étaient toujours impossibles sur une grande partie de l'archipel même si l'aéroport de Port-Vila était de nouveau ouvert aux vols commerciaux lundi.

D'après le Bureau des Nations unies de la coordination des affaires humanitaires (BCAH), neuf pays du Pacifique ont été secoués par le cyclone à des degrés divers, parmi lesquelles -- outre le Vanuatu -- les îles Salomon, Kiribati, Fidji, Tuvalu et la Papouasie-Nouvelle Guinée.

L'ONU avait évoqué la mort non confirmée de 44 personnes dans l'une des six provinces du Vanuatu.

Le Royaume-Uni a promis deux millions de livres (2,8 millions d'euros), l'Union européenne un million d'euros, la Nouvelle-Zélande 730.000 dollars. L'Australie a annoncé une aide de cinq millions d'AUD (3,6 millions d'euros).

Le Fonds monétaire international s'est dit prêt à aider d'urgence l'archipel et à "reconstruire l'économie dans les mois qui viennent".

Source © 2015 AFP




Au secours du Vanuatu, dévasté par le cyclone Pam par francetvinfo

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Source uicn
vendredi 13 mars 2015
La côte ouest australienne a été touchée par des vents à 200km/h vendredi matin alors que le cyclone Olwyn est arrivé dans la ville d'Exmouth.

Plus de 1400 résidents locaux n'avaient plus d'électricité, et les vents violents ont arraché des clôtures et déraciné des arbres.

La police a déclaré qu'il n'y avait aucun rapport annonçant des blessés, les habitants étant restés chez eux durant le passage du cyclone.

Le Bureau de météorologie a indiqué que ce cyclone, qui est resté aussi puissant qu'une tempête de catégorie 3, va continuer à descendre le long de la côte ouest.

"L"oeil du cyclone tropical Olwyn reste très près des côtes alors qu'il descend au sud vers la ville de Coral Bay. Il est attendu qu"il reste aussi puissant qu'un cyclone tropical jusqu'en fin de matinée, avant de s'affaiblir lentement," a déclaré le Bureau de météorologie dans un communiqué.

"Puisqu'il se dirige vers le sud, de fortes pluies et des rafales de vents sont attendues dans le sud-ouest de l'Australie".

"Des vents destructeurs avec des rafales à plus de 200km/h sont fortement probables près d'Exmouth, de Coral bay, et de leurs alentours vendredi matin."




Le puissant cyclone Pam, de catégorie 5, menace l'archipel du Vanuatu dans l'océan Pacifique sud. La capitale Port-Vila est déjà confrontée à des inondations et des rafales de vent, ont indiqué vendredi les autorités.

Quatre provinces de cet archipel pauvre de 270'000 habitants ont été placées en alerte rouge par le bureau des catastrophes naturelles. Les services d'assistance craignent pour les personnes vivant dans des habitations précaires.

Pam, qui engendre des vents pouvant atteindre 230 km/h et des pluies diluviennes, poursuit une trajectoire sud-sud-est et devrait passer vendredi après-midi à environ 100 kilomètres au large de la façade est du Vanuatu.

Selon les services météorologiques du pays, les habitants doivent s'attendre à des vents de 165 km/h, des inondations brutales, de probables glissements de terrain et une houle très forte.

50'000 enfants en danger

Une représentante de l'UNICEF, Alice Clements, a déclaré que Port-Vila ressemblait à une ville fantôme alors que tous les habitants se sont retranchés chez eux.

"Les vents se sont vraiment renforcés, les palmiers sont secoués dans tous les sens et l'on commence à entendre siffler les rafales", a-t-elle déclaré. Elle estime désormais peu probable que le cyclone change de trajectoire et évite le pays.

"Ces phénomènes sont très imprévisibles, mais l'oeil du cyclone ne va pas passer si loin, et même si l'on n'est pas directement frappé, l'impact va être très significatif", a-t-elle ajouté.

Le directeur de l'organisation Save the Children au Vanuatu, Tom Skirrow, a estimé que près de 50'000 enfants se trouvaient en danger dans cet archipel, où les deux tiers de la population vivent d'agriculture.

En Nouvelle-Calédonie, territoire français à 500 kilomètres au sud-ouest du Vanuatu, l'alerte cyclonique numéro un a été déclenchée vendredi à midi dans les îles Loyauté. Selon Météo-France, Pam devrait passer à 170 kilomètres à l'est de l'île de Maré, samedi dans la matinée.

Source © ATS
vendredi 20 février 2015
Ce cyclone de catégorie 5  donc de force maximale, s'est abattu sur les côtes du centre du Queensland en Australie tôt ce vendredi matin (8h), à 70 km au nord de Yeppoon et à 700 km au nord de Brisbane. Les vents atteignent près de 290 km/h, Marcia va donc faire de gros dégâts.

Le cyclone a déjà détruit des maisons, arraché des arbres, et coupé des lignes électriques

"C'est un désastre, la situation est désespérée", ce sont les mots du chef de la police du Queensland, Ian Stewart. 

Les aéroports et 140 écoles sont fermées. 1000 personnes, qui ont du évacuer leurs habitations en zones inondables, se sont réfugiées dans des abris publics à Yeppoon tôt ce matin quand l'oeil du cyclone est arrivé. Les habitants doivent se terrer dans leurs maisons, dans la pièce la plus solide généralement la salle de bains. Mais certains ignorent le danger. Des personnes circulaient encore en voiture dans les rues de Yeppoon ce vendredi matin - pour "admirer" le spectacle. Mauvaise idée, car les membres de la sécurité civile du Queensland non plus, ne peuvent pas sortir pour secourir les habitants. Et ce n'est qu'un début... après les vents ultra violents - jusqu'à 285 km/h, il y aura les inondations.

Cette région du Queensland va recevoir 500 millimètres de pluie en 24 heures. Et il y a de grandes marées, jusqu'à 2.50 mètres au-dessus de la normale. Marcia poursuit sa course vers le sud, dans l'intérieur des terres, elle arrivera cet après-midi à Rockhampton, où elle rétrogradera en catégorie 3. C’est le parcours de l’oeil du cyclone, mais Marcia est précédée de fortes pluies. Ainsi à Brisbane, à 700 km au sud de l’oeil du cyclone, les habitants se préparent à de fortes inondations: 100 000 sacs de sable ont été distribués depuis jeudi soir, pour ériger des digues.Une partie de la capitale du Queensland est fortement inondable, les berges de la rivière sont couvertes de bâtiments. La ville se remet à peine des plus violentes inondations de son histoire – en janvier 2011.

Pendant ce temps là, un autre cyclone frappe l’Australie, en Terre d’Arnhem à l’extrême nord du Territoire du Nord. Lam est arrivé sur les côtes dans la nuit de jeudi à vendredi. Il a faibli, et a été rétrogradé en catégorie 2. Des lignes électriques ont été coupées, des toitures endommagées, et la pluie va causer des inondations ce vendredi.

Source © Caroline Lafargue, ABC.





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jeudi 19 février 2015
Des régions du nord et de l'est de l'Australie se trouvaient jeudi sous la menace de deux cyclones, contraignant les populations à prendre des mesures préventives, ont indiqué les autorités.

Classé en catégorie 3 sur une échelle croissante de 5, le cyclone Lam devrait concerner jeudi soir ou vendredi matin deux communes aborigènes peu peuplées des Territoires du Nord, Milingimbi et Gapuwiyak. Plus au sud, Marcia, actuellement classé en catégorie 2, fait route vers le centre de la côte du Queensland (est) et pourrait frapper vendredi à proximité de la ville de Rockhampton, à environ 635 kilomètres au nord de Brisbane, capitale de cet État.

Adam Morgan, porte-parole du Bureau de la météorologie, a indiqué que Lam était accompagné «de vents très destructeurs d'environ 140 km/h en son centre, avec des rafales pouvant aller jusqu'à 195 km/h». «Les habitants du littoral entre Milingimbi et Nhulunbuy ont été avertis des marées très dangereuses qui allaient se produire, alors que le phénomène s'approche des côtes», a-t-il déclaré, faisant état de probables inondations et de vagues destructrices.

Dans le Queensland, où une trentaine de postes de secours ont été activés, des vents de 150 km/h, des pluies diluviennes et de brusques inondations sont attendus lors du passage de Marcia. «Nous sommes prêts, nos services sont bien préparés et ils connaissent ce genre de situation. Notre message aux habitants est de commencer à se tenir prêts», a déclaré Anna Palaszczuk, Premier ministre du Queensland, où les cyclones sont fréquents.

Source © AFP
mardi 17 février 2015
Le cyclone Lam, formé il y a quelques heures dans la mer d’Arafura se dirige actuellement vers la côte nord de l’Australie. Il pourrait notamment frapper en milieu de semaine la ville australienne de Darwin en catégorie 4 sur l’échelle de Saphir-Simpson.

Un nouveau cyclone, nommé Lam, s’est formé au nord de l’Australie ces dernières heures. Il s’agit du 3ème système cyclonique de la saison dans le pacifique sud, et le deuxième cyclone après Ola, qui avait notamment provoqué de fortes pluies sur les côtes nord-ouest de la Nouvelle-Calédonie début février.

Avec des vents moyens autour de l’œil proches de 100 km/h, et des rafales approchant des 150 km/h, il s’agit déjà d’un cyclone de catégorie 2. Situé actuellement à 850 km au nord-est de la ville de Darwin, il se dirige vers l’ouest et s’intensifie. Il frappera la côte australienne dans la région de Nhulunbuy jeudi matin à 4h (mercredi à 20h en France), en catégorie 3 à 4, avec des vents destructeurs et de très fortes pluies. En raison de grande marée exceptionnelle attendue jeudi (109-113), le risque de submersion des côtes est très importants et une vigilance absolue est préconisée par les autorités australiennes.

La ville de Darwin, située à seulement 400 km à l’ouest de la zone de passage prévue du cyclone pourrait être impactée, notamment par de fortes pluies. Si le cyclone passe finalement plus à l’ouest, ce sont potentiellement des vents destructeurs qui pourraient toucher la ville. Le cyclone Lam reste donc sous surveillance durant ces prochaines heures.

Par la suite, en s’enfonçant dans les terres, dans le nord de la région des Territoires du Nord, sa puissance régressera, mais les pluies resteront importantes.

Pour suivre l'évolution du cyclone Lam, rendez-vous sur La Chaîne Météo avec la rubrique Monde sur la chaîne 100 de Canalsat et la chaîne 55 de Numericable.

Source ©  La Chaîne Météo


lundi 12 janvier 2015
La saison cyclonique débute en décembre dans le sud de l'océan indien. Une importante masse nuageuse et orageuse s'est développée entre l'île Maurice et Madagascar. Ces dernières heures, elle a pris la forme d'un cyclone tropical de catégorie 1 baptisé "Bansi" située à 300 km au nord de la Réunion.

Le cyclone tropical Bansi est de plus en plus intense. Maurice devrait s’attendre à des pluies diluviennes à partir de ce soir et jusqu’à jeudi après-midi.

La forte tempête Bansi s’est intensifiée en cyclone tropical et s’est rapprochée de Maurice. Elle était située ce lundi matin, 12 janvier, à environ de 400 km au nord-ouest de Maurice. La station météo de Vacoas a ainsi émis un avertissement de classe 2. 

Un avertissement de classe 3 n’est pas à écarter dans le courant de cet après-midi, indique un prévisionniste. Selon la météo, Bansi pourrait passer à son point le plus proche de Maurice, soit à 200 km au Nord d’ici demain 

«Il y a une possibilité que Bansi continue à s’intensifier durant la journée», indique le prévisionniste de la station météo. La tempête se déplace dans une direction générale du sud-est à une vitesse d’environ 9 km/h. 

Sur cette trajectoire, il continue à s’approcher dangereusement de Maurice. Le cyclone continue à évoluer dans un environnement favorable, propice à plus d’intensification, le risque d’avoir des vents cycloniques sur Maurice a augmenté. «Des rafales allant jusqu’à 90 km/h sont attendues et si Bansi se rapproche davantage, des conditions cycloniques devraient être ressenties. Le temps restera venteux durant toute la journée et pourrait augmenter dans le courant de la nuit», précise le prévisionniste. 

Le temps sur toute l’île continuera à se détériorer durant la nuit. Les averses et des orages sont à prévoir. Les usagers de la route sont conseillés d’être prudents car des poches de brouillard seront présentes dans certains endroits, réduisant ainsi la visibilité.

La Réunion vient, elle, de passer en alerte pré-cyclonique.

Jusqu'à 300mm de pluies d'ici mercredi

Sous les plus fortes cellules orageuses stationnaires, on attend jusqu'à 300 mm de pluies d'ici mercredi matin et une mer qui devient grosse sur la Réunion ce lundi mais aussi mardi, avec une houle cyclonique résiduelle et des vagues de 4 à 6 mètres. 

Les vents se renforceront également, atteignant les 100 à 110 km/h en pointes. Par la suite, en raison des incertitudes liées au creusement de ce cyclone et de sa trajectoire, le doute reste de mise concernant l'intensification ou non des pluies, ainsi que sur le niveau du renforcement des vents.

Source © Hebdo météo
jeudi 30 octobre 2014
L'Inde déplaçait mercredi des milliers de personnes pour les mettre hors d'atteinte du cyclone Nilofar qui doit gagner la région ce week-end, alors que le Pakistan envisageait également des évacuations de grande ampleur. 

Considéré comme une «tempête cyclonique très sévère» par les climatologues indiens -, il avance à travers la mer d'Arabie avec des vents qui soufflent jusqu'à 220 km/h. 

Le cyclone devrait s'atténuer considérablement lorsqu'il atteindra la côte de l'état indien du Gujarat samedi, selon les prévisions du Département indien de météorologie. Nilofar «traversera la côte en tant que tempête marginalement cyclonique avec des vents à 60-70 km/h», indique le département sur son site internet. Les autorités indiennes ont affirmé qu'elles prenaient toutes les précautions en vue de la tempête - dont l'arrivée est prévue dans le district de Kutch dans le Gujarat.

«Nous avons identifié environ 30.000 personnes qui seront déplacées des zones côtières jusqu'à des endroits plus sûrs avant ce soir», a dit M.S. Patel, un responsable de Kutch. L'Autorité nationale de gestion des catastrophes du Pakistan a recommandé aux autorités des districts d'évacuer les villages côtiers, et tous les restaurants de bord de plage ont été fermés. «Nous avons estimé que quelque 50.000 personnes pourront être évacuées si cela s'avérait nécessaire», a indiqué Ikhlaque Qureshi, un haut responsable de l'Autorité nationale de gestion des catastrophes.

L'œil du cyclone devrait passer à 250 km de Karachi

Selon le météorologue Touseef Alam, l'œil du cyclone passera à environ 250 km de Karachi, la plus grande ville du Pakistan qui compte plus de 18 millions d'habitants. Mais «les bords du cyclone frapperont les côtes pakistanaises», a dit Alam, causant des vents violents, des marées hautes et des pluies dans le sud du Pakistan, en particulier les districts méridionaux de la province de Sindh. 

La tempête arrive après que le cyclone Hudhud s'est abattu sur la côte est de l'Inde plus tôt dans le mois, causant la mort de 20 personnes. L'extrémité de ce cyclone s'était engouffré dans le Népal voisin, causant des tempêtes de neige et plus de 40 morts lors d'une des pires catastrophes de trekking que le pays ait connu.

Le cyclone Phailin, qui avait frappé l'Inde en octobre, comportait des vents de plus de 220 Km/h et avait causé de graves dommages. L'Asie du Sud-Est est chaque année la cible de tempêtes à répétition entre avril et novembre, qui causent des morts et d'importants dégâts.


Source © AFP
mardi 14 octobre 2014
Trois personnes, deux à Saint-Barthélémy et une à Saint-Martin, sont portées disparues depuis lundi soir lors du passage du cyclone Gonzalo sur ces deux îles, a indiqué le préfet délégué auprès de ces deux collectivités d'outre-mer, Philippe Chopin.

Philippe Chopin, qui s'est exprimé par téléphone lundi soir dans le journal télévisé de Guadeloupe 1ère (France Télévisions), a indiqué que ces trois personnes étaient portées disparues lors de «circonstances maritimes», sans plus de précisions. Il a également précisé que les écoles des deux îles resteront fermées mardi dans le cadre d'un niveau d'alerte «gris» permettant l'évaluation des dégâts provoqués par Gonzalo et la réalisation des travaux les plus urgents.

Le confinement des populations à leurs domiciles et dans les abris anticycloniques ouverts dans les deux îles, les coupures d'électricité et les atteintes aux réseaux téléphoniques, filaire et cellulaire, en lien avec le passage de Gonzalo ne permettaient pas lundi soir d'envisager le contact depuis Pointe-à-Pitre avec des témoins sur place.

Les consignes de vigilance cyclonique violette, en vigueur à Saint-Barthélémy et Saint-Martin depuis l'après-midi de lundi, imposent de «rester à l'abri et de ne sortir sous aucun prétexte», interdisent de «circuler à pied ou en voiture sous peine de sanctions», et recommandent de «n'utiliser le téléphone qu'en cas d'absolue nécessité». L'atténuation des effets de l'ouragan est prévue durant la nuit (heure locale) de lundi à ce mardi.
lundi 13 octobre 2014
D’avril à novembre la côte est de l’Inde est régulièrement frappée par des cyclones. 

Le cyclone Hudhud a fait 3 morts et 300.000 déplacés en Inde ce weekend

Ses rafales soufflaient jusqu’à 200 km/h. Le dimanche 12 octobre, c’est Visakhapatnam, la ville de la côte orientale indienne qui a subi ses affres. "Nous avons comptabilisé trois morts depuis ce matin", a annoncé Natrajan Prakasam, un responsable des secours locaux. Deux ont été écrasés par la chute d’arbre et le troisième par l’effondrement d’un mur. 

Par précaution, les autorités ont évacué 300.000 personnes de la ville pour être hébergés dans des camps d’accueil. Hudhud devrait évoluer vers l’intérieur des terres pour diminuer progressivement en intensité. 

Les services météorologiques indiens ont classé la tempête dans le rang de "cyclone extrême’’. L’année dernière, l’Inde a fait face à un autre cyclone encore plus intense, Phailin.

Avant d’atteindre l’Inde, le cyclone Phailin a d’abord balayé la Thaïlande, la Birmanie et le Népal. Il frappa l’Inde au niveau des Etats d’Andaman-et-Nicobar, d’Odisha, d’Andhra Pradesh, du Jharkhand et du Bengale-Occidental. Phailin a provoqué la plus importante évacuation en Inde depuis 23 ans avec 550 000 personnes évacuées de l’Odisha et de l’Andhra Pradesh.

La période d’avril à novembre est la saison des cyclones sur la côte est de l’Inde. Dans les annales de la météorologie indienne, le cyclone le plus ravageur a fait 8.000 morts en 1999.

jeudi 4 septembre 2014
Alors que la tempête tropicale Dolly termine actuellement sa course au Mexique, au nord de la ville de Mexico, un autre système tropical gagne en puissance sur la façade ouest du pays, dans le Pacifique. Il s'agit du cyclone Norbert.

Le cyclone Norbert est né il y a quelques heures dans les eaux chaudes du Pacifique, au sud-ouest du Mexique. Gagnant encore en intensité, il se renforce et devrait atteindre le stade de cyclone de catégorie 2 d’ici peu au large de la Basse Californie. Les vents pourront être particulièrement forts dans cette région au cours des journées à venir, une alerte cyclonique a d’ailleurs été lancée.

Au-delà de cela, l’apport d’humidité de Norbert, couplé à celle amenée par Dolly fait craindre de forts orages entre le nord du Mexique et le sud-ouest des Etats-Unis, zone actuellement en état de sécheresse exceptionnelle. Le risque de crue éclair dans la zone est alors à redouter.

Par la suite, le système cyclonique devrait perdre en puissance avant de rentrer dans les terres en Californie entre la région de San Diego et celle de Los Angeles. Même si la fiabilité est encore assez mauvaise, l’arrivée de pluies dans cette région serait une bénédiction, en raison d’une sécheresse qui dure depuis plus d’un an et demi, provoquant de nombreux incendies. A Los Angeles, le déficit pluviométrique depuis le début de l’année 2013 est d’environ 60%.
dimanche 13 avril 2014
Les autorités australiennes ont indiqué que, même si le cyclone tropical a diminué d'intensité, il "continuait à constituer une menace".

Le cyclone tropical Ita a battu samedi la côte est de l'Australie provoquant des coupures de courant et de lignes téléphoniques de milliers de personnes tandis que les autorités prévenaient que la tempête "continuait à constituer une menace" bien qu'ayant diminué d'intensité. Des dizaines de milliers d'habitants s'étaient mis à l'abri dès vendredi soir alors que de très fortes pluies et des vents soufflant jusqu'à 230 km/h et susceptibles de causer d'importants dégâts allaient atteindre dans la soirée la côte est de l'Australie.

Aucune victime ni destruction majeure n'ont cependant été enregistrées alors que la tempête, classée force 4 sur une échelle maximale de 5 en arrivant sur la côte est, avait perdu de son énergie samedi matin et était rétrogradée en tempête tropicale de force 1.

Les autorités soulagées

Le Premier ministre du Queensland, Campbell Newman, a précisé devant la presse que plusieurs milliers de personnes avaient été privées d'électricité et a prévenu que la tempête "continuait à constituer une menace" alors qu'elle se dirigeait vers le sud. 

"Je suis extrêmement soulagé par le fait que pour le moment aucun mort ou blessé ne nous a été signalé", a dit Campbell Newman, tout en recommandant à la population de ne pas sortir ou de rester dans les abris "jusqu'à ce que la tempête soit définitivement terminée". Il a annoncé en outre une réunion de son cabinet chargée notamment d'étudier la possibilité de rétablir les lignes électriques et téléphoniques coupées le plus rapidement possible. 

Rejoindre les centres d'hébergement

Des vents violents et des pluies diluviennes risquant de provoquer des inondations subites ainsi qu'une mer déchaînée étaient attendus sur la côte est sous la menace d'Ita. L'alerte au cyclone restait en vigueur samedi matin à Port Douglas et Cairns et plus au sud Cardwell, située à environ 1 500 kilomètres de Brisbane. "Tout phénomène au-delà des 80 km/h est dangereux", a déclaré à la télévision publique ABC le maire de Cook Shire, Peter Scott.

Le cyclone a provoqué des glissements de terrain à Cape Flattery vendredi dans la soirée (11 heures GMT) et quelque 30 000 habitants ont été priés d'évacuer dans une large zone aux environs de Cairns.

Campbell Newman avait prévenu les habitants de maisons construites avant 1985, date de l'entrée en vigueur de nouvelles normes de construction, qu'elles pourraient ne pas résister à ce cyclone. Il avait été recommandé à ces habitants d'aller rejoindre les centres d'hébergement, en emportant avec eux leurs effets personnels importants ainsi que leurs médicaments, de la nourriture et de l'eau. Les cyclones tropicaux sont fréquents dans le nord-est de l'Australie, mais celui-ci est plus puissant que Yasi, un gigantesque cyclone qui avait dévasté maisons et récoltes de cette zone il y a trois ans.


Source © Le Point



vendredi 11 avril 2014
Le cyclone Ita devrait pénétrer les terres vendredi en Australie et a déjà entraîné l’évacuation de nombreux habitants des zones côtières.

Les touristes et les habitants côtiers évacuaient des parties de la Grande Barrière de Corail jeudi alors qu’un cyclone puissant s’intensifiait dans la Mer de Corail et se dirigeait vers le nord-est de l’Australie.

Le cyclone Ita devrait pénétrer les terres vendredi au nord de la ville tropicale de Cairns, entraînant la possibilité d’inondations et de dommages étendues, d’après ce qu’ont déclaré des responsables.

Des rafales de vent soufflant jusqu’à 280 km/h sont prévues, entraînant des pluies torrentielles, d’après le Bureau de Météorologie d’Australie.

Ita est potentiellement la tempête la plus puissante à menacer la région depuis le cyclone Yasi il y a trois ans 

« La mer devrait augmenter de manière constante jusqu’à un niveau qui sera bien supérieur à la marée normale, avec des vagues dévastatrices, des courants forts et des inondations des zones de basse altitude s’étendant à l’intérieur des terres » a déclaré le Bureau.

La tempête était encore classifiée comme une dépression tropicale lorsqu’elle s’est dirigée dans les Iles Salomon la semaine dernière, faisant au moins 23 victimes près de la capitale Honiara, d’après l’ONU.

En Australie, des hélicoptères de secourisme ont été envoyés pour trouver les habitants dans les régions isolées et les avertir de l’approche de la tempête. Les campings ont été évacués et fermés et les îles près de la côte ont aussi été évacuées.

La trajectoire prévue de la tempête devrait l’entraîner dans une partie peu peuplée de l’Etat du Queensland vendredi, s’étendant sur une superficie de près de 400 km.

Le Premier Ministre du Queensland, Campbell Newman a déclaré que près de 9000 personnes pourraient être évacuées en prévision du cyclone, y compris des habitants et des touristes à Port Douglas, un lieu de vacances très couru.

Le ministre de l’énergie a déclaré qu’Ita était potentiellement la tempête la plus puissante à menacer la région depuis le cyclone Yasi il y a trois ans. Il a déclaré que les habitants devaient se préparer à perdre l’électricité pendant au moins un mois.

Le cyclone Yasi avait fait près de 3,5 milliards de dollars australiens de dégâts lorsqu’il avait traversé le Queensland en Février 2011.
lundi 7 avril 2014
 La tempête tropicale Ita s'est fomée au large des côtes Ouest des Salomon et se dirige vers le Nord-Est de l'Australie. Le système génère actuellement des vents soufflant à 95 km/h et devrait se renforcer en cyclone de catégorie 1 dans les 12 prochaines heures puis en cyclone de catégorie 2 après.

Ita devrait conserver cette intensité jusqu'à ce qu'il atteigne la pointe Nord du Queensland, vraisemblablement entre les villes de Cairns et de Cooktown le 12 ou le 13 avril prochain.
jeudi 3 avril 2014
La dépression tropicale Five s'est formée au Sud de la Micronésie et prend un cap Nord-Ouest. Le système devrait progressivement se renforcer à mesure de sa remontée en latitude. Dans les 12 prochaines heures, Five devrait s'intensifier en tempête tropicale.

Aux alentours du 06 avril, le météore devrait affecter l'archipel des îles Palau.

A plus longue échéance, Five devrait devenir un typhon de classe 1 et toucher le Sud-Est des Philippines aux alentours du 8 avril.

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