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lundi 23 novembre 2015
Au Liberia, les services de santé vérifient si les trois personnes récemment infectées par le virus Ebola ont eu avec leur entourage des contacts pouvant entraîner de nouvelles infections, selon le correspondant de BBC Afrique.

Les 153 personnes mises en quarantaine auraient pu avoir des contacts avec les cas diagnostiqués vendredi.

L’épidémie de fièvre Ebola a fait environ 4.800 morts au Liberia, de fin 2013 à maintenant.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré deux fois cette année, en mai et en septembre, la fin de l’épidémie dans le pays.

Mais trois nouveaux cas ont été diagnostiqués.

L’OMS a récemment signalé qu’il n’y avait plus de cas de fièvre Ebola en Guinée. Elle a déclaré la fin de l’épidémie en Sierra Leone.

Environ 11.300 personnes ont succombé à la maladie dans ces trois pays voisins, durant les deux dernières années.

lundi 7 septembre 2015
Une localité de près d’un millier d’habitants dans le nord de la Sierra Leone a été mise en quarantaine à la suite de la découverte d’un nouveau cas d’Ebola, une femme décédée fin août, ont annoncé vendredi les autorités locales.

Cet isolement de 21 jours, soit la durée maximale d’incubation du virus, a été décrété à Sella Kafta, dans la région de Kambia (nord-ouest), voisine de la Guinée, après que des tests sur le corps d’une vendeuse de 67 ans se sont avérés positifs au virus Ebola.

«Plus de 970 personnes sont en quarantaine, sous observation, en raison d’informations selon lesquelles elles auraient été en contact avec la femme décédée, testée positive après sa mort», selon un communiqué de la cellule de crise locale contre Ebola distribué aux journalistes.

La province de Kambia est «en état d’alerte» pour enrayer toute contamination, a déclaré le responsable administratif local, Alhaji Abu Bangura, à une radio privée.

La Sierra Leone espérait être en voie d’éradication du virus après la sortie d’hôpital, le 24 août à Makeni (centre-nord), de la dernière malade d’Ebola connue, traitée avec succès dans le pays, qui était alors demeuré plus de deux semaines sans nouvelle contamination signalée.

Selon des habitants et des sources indépendantes, la vendeuse décédée ne s’était récemment rendue ni en Guinée ni au Liberia, deux des trois pays voisins les plus touchés par l’épidémie, avec la Sierra Leone.

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a déclaré jeudi la fin de la transmission du virus Ebola au Liberia, après une première annonce similaire il y a quatre mois.

L’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest - la plus grave depuis l’identification du virus en Afrique centrale en 1976 - est partie en décembre 2013 du sud de la Guinée. Elle a fait depuis plus de 11.300 morts pour quelque 28.000 cas, un bilan sous-évalué, de l’aveu même de l’OMS.

Plus de 99% des victimes se concentrent dans ces trois pays voisins.


Source © AFP

dimanche 10 mai 2015
L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a déclaré officiellement samedi la fin de l'épidémie d'Ebola au Libéria, l'un des trois pays les plus touchés par la maladie avec le Sierra Leone et la Guinée.

Quarante-deux jours se sont écoulés depuis que le dernier cas d'Ebola confirmé en laboratoire a été enterré le 28 mars 2015, a indiqué l'OMS pour justifier son annonce.

“L'arrêt de la transmission est un succès énorme pour un pays qui a enregistré le plus grand nombre de morts dans l'épidémie la plus grande, la plus longue et la plus complexe depuis qu'Ebola est apparu en 1976”, a ajouté l'agence onusienne dans un communiqué de presse. Au pic de la transmission du virus, en août et septembre 2014, le Libéria enregistrait entre 300 et 400 nouveaux cas chaque semaine.

L'OMS a rappelé que l'épidémie se poursuit en Guinée et en Sierra Leone et qu'il y a un risque élevé que des gens infectés passent la frontière du Libéria dans une région où les frontières sont très poreuses.

“Le gouvernement est absolument au courant de la nécessité de rester en alerte et a l'expérience, la capacité et le soutien des partenaires internationaux pour le faire”, a souligné l'OMS. L'agence a prévenu qu'elle maintiendrait une présence renforcée au Libéria jusqu'à la fin de l'année.

Dans un entretien avec la Radio de l'ONU cette semaine, la Représentante spéciale du Secrétaire général au Libéria, Karin Landgren, avait appelé à la prudence concernant l'épidémie d'Ebola. « On attend que le Sierra Leone et la Guinée conquièrent aussi Ebola », avait-elle dit.

Selon les derniers chiffres de l'OMS fournis mercredi, depuis le début de l'épidémie en Afrique de l'Ouest, Ebola a fait au total 11.005 morts, principalement au Libéria, en Guinée et en Sierra Leone. L'épidémie est partie en décembre 2013 de la Guinée avant de se propager aux deux autres pays.

Source © AFP
vendredi 13 mars 2015
L’épidémie de fièvre Ebola qui touche l’Afrique de l’Ouest a aujourd’hui franchit la barre des 10.000 morts, selon les chiffres dévoilés hier par l’OMS.

Selon le bilan de l’Organisation Mondiale de la Santé, l’épidémie de fièvre hémorragique Ebola a franchit la barre des 10.000 morts en Afrique de l’Ouest: 4.162 ont été recensés au Liberia, 3.655 en Sierra Leone, et 2.187 en Guinée, trois des pays les plus touchés par l’épidémie.

Au total, ce sont 24.350 personnes qui ont été affectées par la maladie.
samedi 13 décembre 2014
Une pharmacienne de retour d'Afrique de l'Ouest a été hospitalisée vendredi 12 décembre au soir à Saint-Denis de la Réunion avec une forte fièvre, premier cas suspect de fièvre Ebola dans l'île, a indiqué samedi la CRSA, instance en charge de la politique sanitaire et sociale dans cette collectivité de l'océan Indien, confirmant une information de Réunion 1ère radio.

La pharmacienne revenait d'une mission humanitaire probablement en Guinée, le berceau du virus d'Ebola. Vendredi, prise d'une forte fièvre, elle a été prise en charge par le service mobile d'urgence et de réanimation, en raison de son récent séjour dans cette région frappée par l'épidémie. Revêtus d'une tenue étanche, les urgentistes sont venus la chercher chez elle dans le sud de la Réunion, avant de l'hospitaliser au CHU Félix Guyon de Bellepierre (Saint-Denis), seul hôpital de l'île habilité pour la prise en charge de malades d'Ebola.

Les résultats des analyses de sang, effectuées par un laboratoire de Lyon, seront connus dans 48 heures. Le ministère de la santé a rappelé qu'il se refusait à commenter les cas de suspicion depuis le début de l'épidémie.

« NE PAS S'AFFOLER »

Une réunion des représentants de l'ensemble des personnels de santé est organisée au CHU où la patiente a été admise ce samedi matin, selon Serge Camatchy, président de la CRSA, qui appelle à « ne pas s'affoler ». « En tout état de cause, La Réunion est médicalement et sanitairement bien équipée pour faire face à ce type de cas », assure-t-il. C'est le premier cas suspect de fièvre Ebola à La Réunion. Un cas suspect avait été enregistré à Maurice, l'île voisine, en septembre, mais le patient de retour d'un voyage en de trois mois en Guinée souffrait en fait du paludisme.


L'Agence régionale de santé océan Indien (ARS OI) a mis en place, à La Réunion et à Mayotte, le dispositif national relatif à la prévention et la prise en charge d'une personne susceptible d'avoir contracté la maladie, car le risque d'importation du virus par le biais des voyageurs au sein de l'Union européenne n'es pas « totalement exclu », même s'il est « très faible ».

L'épidémie a fait 6 583 morts sur 18 188 personnes contaminées dans les trois pays les plus touchés (Libéria, Guinée et Sierra-Leone), selon le dernier bilan de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), daté du 10 décembre. Quinze autres morts ont été enregistrés dans trois pays (Mali, Etats-Unis, Nigeria).


Source © le monde

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jeudi 13 novembre 2014
Selon le dernier bilan de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) daté du 9 novembre, sur 14 098 cas enregistrés, 5 160 personnes sont mortes de l'épidémie de fièvre hémorragique Ebola.

La barre des 5 000 victimes du virus Ebola a été franchie. La fièvre hémorragique est jugé responsable de 5 160 morts pour 14 098 cas enregistrés, selon le dernier bilan de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), datant du 9 novembre et publié mercredi 12 novembre.

Lundi, l'ONG Médecins sans frontières a annoncé pour la première fois depuis le début de l'épidémie "une diminution du nombre de patients d'Ebola" dans ses centres de soins au Liberia. L'ONG a tout de même prévenu que "ce déclin du nombre de cas pourrait cependant n'être que temporaire, comme il l'a été à deux reprises en Guinée, avant d'être suivi d'une reprise de l'épidémie".

Au Mali, deux personnes - un ressortissant guinéen et un infirmier malien qui l'avait soigné - sont mortes du virus Ebola ces derniers jours dans une clinique de Bamako. Un médecin malien, considéré comme un cas suspect après avoir été en contact avec ces deux cas, a été mis en observation et plusieurs dizaines de personnes placées en quarantaine.

Source © AFP/ OMS



mardi 7 octobre 2014
Une aide-soignante espagnole ayant travaillé dans un hôpital où deux missionnaires sont morts d'Ebola est porteuse du virus, a confirmé, lundi 6 octobre, le ministère de la santé de l'Espagne. C'est la première fois qu'une personne contracte la maladie hors d'Afrique.

L'aide-soignante travaillait à l'hôpital Carlos III de Madrid, où sont morts le frère Manuel Garcia Viejo, un missionnaire catholique espagnol rapatrié de Sierra Leone après avoir été infecté, et Miguel Pajares, autre missionnaire contaminé en même temps.

Selon la ministre de la santé, Ana Mato, l'aide-soignante de 44 ans faisait partie de l'équipe qui a soigné Manuel Garcia Viejo, mort à la fin de septembre. Elle s'est rendue elle-même, dans la matinée, à l'hôpital d'Alcorcon, dans la banlieue de Madrid, avec une forte fièvre qui a augmenté tout au long de la journée. Depuis, dans un état stable, elle a été placée en quarantaine et transférée à l'hôpital Carlos III dans la nuit.

Partie en congés au lendemain de la mort, le 25 septembre, du frère Garcia Viejo, elle n'a pas repris le travail depuis lors. Elle a commencé à se sentir mal le 30 septembre et a, selon le quotidien El Mundo citant des sources au sein des autorités sanitaires, insisté à plusieurs reprises pour passer les tests de détection d'Ebola, même si sa fièvre n'était pas encore très importante.

Jusqu'ici, toutes les personnes touchées et hospitalisées en dehors de l'Afrique de l'Ouest, que ce soit en Europe ou aux Etats-Unis, avaient été infectées sur le sol africain. La fièvre hémorragique virale a fait 3 439 morts sur 7 478 cas enregistrés en Afrique de l'Ouest, selon le dernier bilan de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

Selon un responsable de la santé, une trentaine de professionnels du monde médical qui se sont occupés des missionnaires espagnols contaminés par la maladie sont suivis pour s'assurer qu'ils ne sont pas eux-mêmes atteints. Mme Mato a précisé que le protocole prévu dans ces circonstances avait été immédiatement mis en place pour garantir la sécurité des citoyens, mais a tout de même précisé :

« Nous sommes en train de vérifier si tous les protocoles ont été strictement respectés [au moment de l'infection]. [...] Toutes les mesures pour garantir la sécurité du personnel hospitalier qui la soigne et de toute la population étaient prises. »

Une collègue de la malade a décrit au quotidien espagnol El Pais les moyens de protection  « extrêmes », selon elle, employés par les soignants qui ont approché les deux missionnaires atteints de la maladie : deux combinaisons de protection, deux paires de gants et une paire de lunettes.

Les syndicats des personnels soignants dénonçaient cependant, dès lundi soir, le « manque total de contrôle » de la situation à l'hôpital Carlos III face à l'urgence au moment l'hospitalisation des deux malades, affirmant que les infirmiers assistaient à « une formation express », insuffisante, selon eux, de quinze minutes avant de traiter les patients, rapporte Público.

Le président de la République François Hollande a assuré, lundi, que la France était « en situation de pouvoir soigner » des personnes atteintes par le virus « si des cas se produisaient » dans l'Hexagone. M. Hollande a, de nouveau, appelé à « accélérer et amplifier les recherches pour qu'un vaccin puisse être trouvé » contre le fléau, qu'il considère comme « une menace majeure, pas simplement pour les pays africains concernés, mais pour l'ensemble du monde ».




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vendredi 3 octobre 2014
Plus aucun territoire du Liberia n'est à l'abri de l'épidémie du virus Ebola. La présidente libérienne, Ellen Johnson Sirleaf, a annoncé, vendredi 3 octobre, que « l'ensemble des 15 provinces signal[ai]ent désormais des cas ».

La chaîne américaine NBC a par ailleurs annoncé qu'un de ses caméraman travaillant dans le pays avait aussi contracté le virus et qu'il allait être rapatrié aux Etats-Unis. Il avait été engagé mardi pour servir d'assistant à la correspondante et spécialiste des questions de santé de NBC qui effectue actuellement un reportage sur l'épidémie à Monrovia, la capitale.

C'est aussi au Liberia que le premier malade diagnostiqué hors d'Afrique, actuellement soigné aux Etats-Unis, a contracté le virus au mois de septembre.

Dans son dernier bilan faisant état de 3 338 morts sur 7 178 cas, dont plus de la moitié au Liberia, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) conclut à une sous-estimation généralisée des nouveaux cas dans ce pays.

Médecins sans frontières (MSF) a, pour sa part, déploré l'inadéquation de l'aide internationale, réclamant des équipes médicales plutôt que des fonds. MSF a ainsi décliné une offre de financement de l'Australie, lui demandant de déployer plutôt des équipes médicales.

Il manquerait encore quelque 1 500 lits au Liberia par rapport au nombre déjà disponible ou en voie de l'être, et 450 en Sierra Leone, selon l'OMS. Renfort appréciable dans cette bataille, 165 professionnels de santé promis par Cuba à la Sierra Leone sont arrivés, jeudi, à l'aéroport de Freetown. Ce nombre comprend 63 médecins, dont des « généralistes, pédiatres, réanimateurs, épidémiologistes » ainsi que 102 infirmiers, a précisé l'ambassadeur de Cuba en Sierra Leone, Jorge F. Lefebre Nicolas.

Source © Le Monde

mardi 16 septembre 2014
L’ONU estime qu’il faudrait un milliard de dollars pour contenir l‘épidémie d’Ebola qui sévit actuellement en Afrique de l’Ouest.
Ce montant est le double de ce qui avait été avancé il y a encore quelques semaines. Cela prouve, aux yeux des Nations Unies, l’urgence de la situation.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) dit espérer inverser, avant la fin de l’année, la courbe du nombre de personnes infectées.

“Cette crise sanitaire n’a pas d‘équivalent dans l‘époque moderne”, a indiqué ce mardi Bruce Aylward, directeur général adjoint de l’OMS lors d’une conférence de presse à Genève. Selon lui, “l‘épidémie peut être limitée à quelques dizaines de milliers de cas, mais cela suppose de la part de la communauté internationale, une réponse beaucoup plus rapide”.

En six mois, le virus Ebola a causé la mort de 2500 personnes sur près de 5000 cas. La plupart des victimes se trouvent au Liberia, en Guinée et en Sierra Leone.

Face au risque de propagation de la maladie, les touristes ont quasiment totalement déserté, ce qui pénalise un peu plus ces pays d’Afrique de l’Ouest.

Source © 2014 euronews

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mardi 9 septembre 2014
Plusieurs milliers de nouveaux cas de fièvre hémorragique Ebola sont à craindre dans les trois prochaines semaines au Liberia, avertit lundi un rapport de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). 

"Plusieurs milliers de nouveaux cas d'Ebola sont attendus au Liberia dans les trois prochaines semaines", souligne le rapport qui demande que tous les acteurs sanitaires se préparent à une "croissance exponentielle" dans les pays où il y a une transmission intense du virus. 

Le Liberia est le pays d'Afrique de l'Ouest qui compte le plus grand nombre de cas et de décès depuis que l'épidémie a éclaté en mars.

Source © AFP



mercredi 3 septembre 2014
Le monde est en train de "perdre la bataille" contre la progression de l'épidémie d'Ebola qui frappe l'Afrique de l'Ouest, a déclaré mardi la présidente de Médecins sans frontières (MSF), Jeanne Liu.

"En six mois de la pire épidémie d'Ebola de l'Histoire, le monde est en train de perdre la bataille pour la contenir. Les dirigeants n'arrivent pas à bloquer cette menace transnationale", a poursuivi Jeanne Liu dans un discours prononcé aux Nations unies à New York, selon un communiqué de MSF International. 

"Coalition mondiale de l'inaction"

"L'annonce faite le 8 août (par l'OMS) que l'épidémie constituait une 'urgence de santé publique mondiale' n'a pas été suivie d'une action décisive, et les Etats se sont en général contentés de rejoindre une coalition mondiale de l'inaction."

Hôpitaux de campagne et laboratoires volants

Jeanne Liu a appelé la communauté internationale à financer davantage de lits afin de mettre en place un réseau d'hôpitaux de campagne, à envoyer du personnel médical qualifié et à déployer des laboratoires volants en Guinée, Sierra Leone et au Liberia. 

Lits nécessaires

Dans un communiqué publié simultanément, MSF souligne l'acuité particulière de la crise dans la capitale libérienne, Monrovia, où "800 lits supplémentaires seraient nécessaires", selon ses estimations.

Risques multipliés

Faute de place dans ses centres de soins surpeuplés du Liberia et de Sierra Leone, des malades continuent de mourir au sein de leur communauté, multipliant les risques de contagion, souligne également MSF.

Cadavres dans les rues

"En Sierra Leone, les cadavres, hautement infectieux, pourrissent dans les rues", insiste l'organisation.

Le virus, contre lequel aucun traitement ni aucun vaccin n'existe, a fait plus de 1.550 morts sur 3.069 cas recensés au 26 août par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), dont 694 au Liberia, 430 en Guinée et 422 en Sierra Leone. Au rythme de contagion actuel, il faudra six à neuf mois et au moins 490 millions de dollars (373 millions d'euros) pour parvenir à maîtriser l'épidémie, qui risque de toucher 20.000 personnes, selon l'OMS.

Source © ap.

samedi 26 juillet 2014
Un premier cas de fièvre hémorragique due au virus Ebola a été repertorié au Nigéria.

Le patient, un homme de 40 ans, était un membre du gouvernment libérien. Il avait débarqué dimanche à Lagos, la mégalopole nigérianne.

Pris de diarrhées, de violents vomissements et souffrant de fièvre dès son arrivée, il avait été ttransporté à l’hôpital où il est décédé dans la nuit de jeudi à vendredi.

Depuis, les autorités nigériannes s’emploient à retracer son parcours et à retrouver les passagers avec lesquels il a pu être en contact lors de son déplacement en avion.

Selon l’Orgnaisation mondiale de la santé (OMS), le virus Ebola est responsable de la mort de 660 personnes, et ce principalement en Guinée, au Liberia et en Sierra Léone.

 Source © Euronews

Déjà 660 décès liés au virus Ebola

Le bilan de l'épidémie de fièvre hémorragique en grande partie due au virus Ebola continue de s'aggraver avec près de 1.100 cas et 660 morts, dont 28 décès entre les 18 et 20 juillet, dans trois pays d'Afrique de l'Ouest, a indiqué vendredi l'OMS. 

"L'OMS et ses partenaires sur le terrain continuent de travailler très dur avec les autorités locales pour essayer de contenir la propagation de la maladie et pour soigner les personnes touchées par l'épidémie", a déclaré un porte-parole de l'Organisation mondiale de la santé, Paul Garwood, au cours d'un point de presse à Genève. 

Selon le dernier bilan de l'OMS, qui date du 20 juillet, "660 décès ont été enregistrés, 1.093 cas ont été signalés", a-t-il dit. 

Selon l'OMS, il y a eu 45 nouveaux cas entre les 18 et 20 juillet, dont 28 mortels (4 en Guinée, 11 au Liberia et 13 en Sierra Leone)

La Guinée, d'où l'épidémie est partie, n'est plus le pays le plus affecté. D'après l'OMS, il y a eu au total depuis le début de l'épidémie, 415 cas fièvre hémorragique en Guinée, dont 314 mortels, 224 cas au Liberia, dont 127 mortels, et 454 en Sierra Leone, dont 219 mortels. 

M. Garwoord a souligné qu'un des principaux défis actuellement était le manque de personnel. "Nous sommes en train de fournir un soutien additionnel aux hôpitaux et cliniques", a-t-il souligné.

Source © 7/7
vendredi 4 avril 2014
La Guinée est en proie à une épidémie de fièvre hémorragique virale qui a tué 84 personnes sur 134 cas enregistrés depuis janvier.

Le gouvernement malien a annoncé jeudi soir que "trois cas suspects" de fièvre hémorragique virale ont été détectés au Mali et placés en isolement en attendant les résultats de tests au virus d'Ebola.

Dans le cadre de la surveillance de l'épidémie de fièvre hémorragique à virus Ebola déclarée en Guinée", pays voisin, "les équipes socio-sanitaires déployées sur le terrain ont permis de déceler trois cas suspects" au Mali, a affirmé le gouvernement dans un communiqué reçu par l'AFP. "Sur les trois cas suspects, des prélèvements biologiques ont été effectués. Les échantillons prélevés ont été envoyés pour analyse au laboratoire de référence du CDC d'Atlanta, aux Etats-Unis. 

En attendant les résultats de ces analyses, les sujets ont été placés dans une unité d'isolement où ils reçoivent des soins appropriés. A l'heure actuelle, leur état de santé s'améliore", a-t-il ajouté. 

Peu auparavant, le ministre malien de la Santé et de l'Hygiène publique, Ousmane Koné, avait annoncé à l'AFP ces trois cas suspects de fièvre hémorragique, en exhortant au calme et à éviter de paniquer. "Des échantillons ont été prélevés et envoyés à l'extérieur pour analyse. Nous attendons les résultats que nous publierons immédiatement" dès qu'ils seront connus, avait assuré le ministre Koné. Mais aucune information n'a été fournie sur l'origine de ces cas suspects. 

Le Mali est limitrophe de la Guinée, en proie à une épidémie de fièvre hémorragique virale qui y a tué 84 personnes sur 134 cas enregistrés depuis janvier, essentiellement dans des districts du Sud, selon le dernier bilan officiel du gouvernement guinéen. 35 de ces cas ont été confirmés comme étant dus à Ebola, virus contre lequel il n'existe ni vaccin, ni traitement, qui est hautement contagieux et souvent mortel. 

Plusieurs cas suspects, dont certains mortels, ont aussi été signalés au Liberia et en Sierra Leone, mais seuls deux cas ont été testés positifs à l'Ebola au Liberia, tous les tests ont été négatifs en Sierra Leone.

Source © Belga

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