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jeudi 11 mars 2021


Le bisphénol B est principalement utilisé en association à d’autres substances pour la fabrication de plastiques et de résines

Dans un article paru ce mardi, l’Agence Nationale Sécurité Sanitaire Alimentaire Nationale met en garde contre le bisphénol B. Cette substance chimique est utilisée dans certains pays hors Union européenne comme alternative au bisphénol A, largement connu aujourd’hui comme un perturbateur endocrinien. Selon l’Anses, le bisphénol B ne serait en fait pas moins mauvais pour l’Homme et l’environnement que le A. Ses propriétés endocriniennes seraient similaires, « voire légèrement plus prononcées ».

L’Anses propose par conséquent, d’identifier le bisphénol B en tant que « substance extrêmement préoccupante » dans le Règlement européen REACH. « Cette classification vise à éviter les utilisations industrielles de cette substance chimique sur le continent européen en remplacement du bisphénol A, et à obliger les importateurs d’articles de consommation à déclarer sa présence dès qu’il dépasse un seuil de 0.1 % dans leur composition », écrit l’Agence.

Une altération du système reproducteur masculin

Sur la base des données scientifiques disponibles, l’Anses a établi que le bisphénol B augmente la production d’œstrogènes – hormones femelles – et active les récepteurs aux œstrogènes. Il possède également des « effets néfastes en altérant le système reproducteur mâle : réduction de la production quotidienne de spermatozoïdes, diminution du poids relatif des organes reproducteurs mâles ». Enfin l’Anses établi un « lien biologiquement plausible entre l’activité endocrinienne et les effets néfastes précités ».

« De plus, en cas d’exposition au bisphénol B, ses effets pourraient s’ajouter à ceux des autres bisphénols qui présentent des propriétés similaires tels que les bisphénols A et S auxquels l’Homme et l’environnement peuvent également être exposés », ajoute l’Anses.

Utilisé pour fabriquer des récipients alimentaires

À l’instar du bisphénol A, le bisphénol B est principalement utilisé en association à d’autres substances pour la fabrication de plastiques et de résines. On retrouve notamment le bisphénol A (BPA) dans le polycarbonate. Ce plastique rigide et transparent de haute performance est utilisé pour fabriquer des récipients alimentaires comme les biberons, la vaisselle ou les conteneurs destinés au stockage. On retrouve également des résidus de BPA dans les résines époxy utilisées pour fabriquer les films de protection à l’intérieur des canettes ou de cuves recevant des aliments et des boissons.

Pour rappel, le bisphénol A est interdit depuis 2011 pour la fabrication et la commercialisation des biberons en Europe. Une loi de 2015 interdit en France la fabrication, l’exportation, l’importation et la mise sur le marché de tout conditionnement alimentaire en contenant.

© 20 minutes

mardi 20 octobre 2015
Depuis vingt ans, Charles Sultan alerte les pouvoirs publics sur l’impact néfaste des perturbateurs endocriniens sur notre santé. Le travail de recherche du professeur du CHRU de Montpellier, spécialiste français dans ce domaine, a fait le tour du monde. 

Qu’est-ce qu’un perturbateur endocrinien ?

C’est une substance chimique, qui est créée par l’Homme, et qui est capable d’interagir avec les hormones : on peut citer les pesticides, les plastiques, tel que le bisphénol, les OGM, les métaux lourds ou les hormones femelles, que l’on trouve dans l’eau des rivières, qui relèvent des prescriptions de la ménopause ou de la contraception.

Quels peuvent être les effets sur l’Homme, notamment les enfants ?

L’exposition à un ou plusieurs perturbateurs peut avoir de multiples conséquences. Il peut y avoir, à la naissance, des malformations génitales du bébé, comme des micro-pénis chez les garçons. Chez les filles, nous assistons à une explosion des pubertés précoces, avec des cas de plus en plus fréquents d’apparition de la poitrine dès l’âge de 4 ou 5 ans. En Languedoc-Roussillon, les demandes de consultations médicales pour des pubertés précoces ont été multipliées par 10 en vingt ans. 

Il y a aussi un effet sur la croissance fétale : l’enfant peut naître très petit.

Et sur le long-terme ?

Les perturbateurs endocriniens ont un impact non négligeable sur le système nerveux, avec des enfants qui deviendront hyperactifs, par exemple. Il faut aussi signaler qu’il y a une accumulation de preuves qui démontrent qu’ils ont aussi un effet sur l’obésité. Et non seulement ces substances impactent le fœtus, mais elles perturbent également le devenir de l’adulte. Peut-être même sur plusieurs générations.

Trouvez-vous que les pouvoirs publics n’agissent pas assez ?

C’est évident. C’est très grave, il faut agir. Il y a d’un côté une prise de conscience émanant des citoyens, des professionnels de santé et de certains politiques. Mais d’un autre côté, tandis que le Grenelle de l’environnement avait promis une baisse de l’utilisation de pesticides de 50 % en 2016, leur production augmentait de 11 % en 2014.


Source © 20 minutes
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jeudi 8 octobre 2015
Les perturbateurs vont se nicher dans les cosmétiques, détergents, plastiques et autres films alimentaires, jouets et certains médicaments. 

Menace majeure pour la santé, et notamment la fertilité, les agents hormonaux sont l’objet d’une âpre bataille à Bruxelles. Un livre décrit les méthodes des industriels qui ont obtenu de la Commission européenne qu’elle impose l’inaction.

    Perturbateurs endocriniens : comment les lobbys ont gagné

Les données sont connues, brutales : la qualité du sperme s’est effondrée de moitié en cinquante ans, ou encore le nombre de diabètes a doublé en vingt ans dans les pays riches, et certains cancers explosent. Les causes ? Variées sûrement. Il n’empêche, pour la communauté scientifique, il ne fait guère de doute que ces perturbateurs endocriniens (PE) jouent un rôle essentiel.

Et voilà que face à cette catastrophe annoncée, il ne se passe rien. Un livre, Intoxication , écrit par Stéphane Horel, sort ce jeudi. Et revient sur un épisode récent (entre 2010 et fin 2013) et largement occulté, qui explique en grande partie l’immobilisme actuel : la guerre qui a eu lieu au sein des directions de la Commission européenne et qui a abouti à un enterrement du dossier. Ou plus exactement, dans le jargon, à lancer une «étude d’impact» qui a permis de repousser les échéances. Une histoire qui révèle les terribles batailles d’influence autour de la santé à Bruxelles. Stéphane Horel est unique. Les lobbys, c’est son domaine. Journaliste de formation, elle ne se lasse pas de farfouiller, dénicher et accumuler des milliers de pages autour de ces dits perturbateurs endocriniens. «Je passe des heures, des jours et des nuits à tout lire pour essayer de comprendre en direct ce qui se passe, et comment travaillent en direct les lobbys de toutes sortes», explique-t-elle.

Cancers, diabète, infertilité…

Point de départ donc, les PE, ces petites bêtes qui sont partout, dans la plupart des produits que fabriquent l’industrie pétrochimique. Elles sont là, elles grignotent notre système hormonal au point d’avoir des conséquences physiologiques, non seulement sur nous mais aussi sur les générations à venir. L’expression «perturbateur endocrinien» a été créée en 1991 par Theo Colborn pour désigner tout agent chimique qui agit sur le système hormonal, et peut, de ce fait, être la cause d’anomalies physiologiques et de reproduction. Depuis près de cinquante ans, les effets des perturbateurs endocriniens sont recherchés puis observés : agissant à très petites doses, ils ont des effets sur la santé en altérant des fonctions telles que la croissance, le développement, le comportement et l’humeur, la production, le sommeil, la circulation sanguine, la fonction sexuelle et reproductrice. Le constat le plus spectaculaire ayant été la baisse de fertilité dû à la mauvaise qualité du sperme et la mise en cause des PE dans ce phénomène. 

En ce début octobre, dans la revue Endocrine Reviews (la plus ancienne revue et importante société savante spécialisée travaillant à la recherche sur les hormones et la pratique clinique de l’endocrinologie), un travail de synthèse a été réalisé, dont les conclusions sont sans appel : «L’accroissement des données examinées enlève tout doute sur le fait que les perturbateurs endocriniens contribuent à l’augmentation de la prévalence de maladies chroniques liées à l’obésité, le diabète sucré, la reproduction, la thyroïde, les cancers, les problèmes neuroendocriniens et affectant les fonctions neurologiques du développement.» Les chercheurs précisent même que «les cinq dernières années représentent un bond en avant dans notre compréhension des modes d’actions des PE sur la santé et la maladie du système endocrinien».

«L’industrie sur le pied de guerre»

L’heure est grave. Mais on dirait que l’on a encore tout le temps. Un peu comme pour le tabac où il s’est passé trente ans entre les études montrant le lien direct avec les cancers du poumon, et la prise en compte du danger par les autorités. Cela avait, pourtant, pas si mal commencé. En 2006, la Commission a entamé sa révision de la réglementation des pesticides. Et elle a décidé d’y inclure les PE. Problème : comment les distinguer, comment les définir ? Le Parlement s’y penche, et demande à la Commission de présenter une définition scientifique des PE avant la fin 2013. Des questions d’importance, car on sort du champ classique des pesticides pour s’ouvrir à des objets qui peuplent notre vie quotidienne, comme le plastique, les cosmétiques, les médicaments, les détergents, les jouets, tous ces produits pouvant contenir des PE. On comprend, dès lors, la vigilance de l’industrie qui s’inquiète de tout regard un brin réglementariste.

Au même moment, en 2006, les instances européennes adoptent Reach, un vaste programme dont le but est de protéger la santé et l’environnement en mettant un peu d’ordre dans le grand bazar chimique qu’est devenu le monde contemporain. «Les PE font-ils partie des substances préoccupantes ?» s’interroge alors Reach. La question, là encore, reste en suspens, mais Reach demande à la commission de trancher, avec la même date limite : juin 2013.

L’industrie pétrochimique sent le danger. «Elle se met, alors, sur le pied de guerre, écrit Stéphane Horel, l’industrie aurait souhaité que les politiques européennes se désintéressent du dossier. Elle a perdu cette première bataille, mais elle va se mobiliser pour faire en sorte que la définition des PE soit aussi limitée que possible, parce qu’elle veut continuer à mettre ses produits sur le marché sans que n’intervienne le moindre régulateur.»

Commence donc une bataille d’influence. Homérique mais discrète, elle aura pour cadre les couloirs de la Commission européenne, à Bruxelles. Et c’est cet affrontement que nous décrit, dans son livre enquête, Stéphane Horel, et en particulier les derniers épisodes en 2012 et 2013. 

Un affrontement larvé, torve, terriblement féroce entre deux grandes directions de la Commission européenne, celle sur la santé et celle sur l’environnement. La direction environnement a toujours eu une réputation de village gaulois, qui sait résister au lobbying de l’industrie. Alors que la direction santé est perçue comme le courrier du capitalisme libéral. Toutes les deux ayant un point commun : elles se retrouvent sous la coupe d’un commissaire européen de faible poids politique.

Pendant des mois et des mois, les deux directions vont s’invectiver en secret autour de la question d’une étude d’impact que pousse habilement l’industrie pétrochimique. Une étude d’impact, quoi de mieux, en effet, pour enterrer une décision ? Cela dure un an au minimum, on analyse comme son nom l’indique l’impact social et économique d’une interdiction de certaines substances sur l’état de santé… des entreprises concernées. Pour Stéphane Horel, c’est cocasse : «Vous avez un produit très dangereux, et plutôt que de l’interdire, vous vous posez la question de l’impact économique de son retrait. Prenez l’exemple du Mediator. C’est dangereux, mais c’est comme si on allait d’abord analyser les conséquences pour Servier de son retrait plutôt que de l’interdire».

Stéphane Horel détaille toutes les étapes de ces deux années. Elle décrit la stratégie des industriels pour tenter de glisser dans les recommandations la nécessité de cette étude d’impact, multipliant colloques, et autres actions. Tout y passe, les méthodes de lobbying étant larges, que ce soit par le biais de financement d’études scientifiques, mais aussi par un travail plus sournois pour légitimer certaines recherches et décrédibiliser des travaux universitaires indépendants, tout en minimisant les preuves biologiques, en mettant toujours en avant l’incertitude scientifique.

Des données scientifiques ignorées

C’est un travail de mille-pattes dans mille directions. «Le but des industriels est de techniciser à outrance le débat, pour arriver à le rendre incompréhensible, et surtout à le rendre indéchiffrable aux yeux des citoyens», analyse Stéphane Horel. «Or, argumente Lisette Van Vliet, une responsable emblématique d’ONG dans ce domaine, il ne s’agit pas d’un obscur débat toxicologique, je pense qu’il s’agit de l’équivalent du changement climatique en matière des produits chimiques dangereux et de santé environnementale.» Elle ajoute : 

«Comme pour le changement climatique, les données scientifiques sont là, elles sont pourtant ignorées par les décideurs publics, comme si le doute devait systématiquement profiter aux intérêts de firmes commercialisant tel spray ou tel détergent de baignoire plutôt qu’à la santé des personnes.» Des actes directs de corruption ? Non, en tout cas, son enquête n’en révèle pas. «Le lobbying au quotidien, c’est beaucoup plus retors. Ce sont des centaines de mails pour changer un paragraphe.» C’est avancer, virgule par virgule, dans l’élaboration d’un argumentaire. Les médias ? «Pendant ces années de lobbying, ils ont joué un rôle très limité, constate Stéphane Horel, et puis en France, dès qu’il s’agit d’un sujet européen, les journaux ont peur d’ennuyer.»

Juin 2013, la date couperet. Le lobby des industries a gagné, comme le raconte Stéphane Horel. La Commission européenne a tranché. Et a demandé une étude d’impact. Ceux qui s’alarmaient sur l’intérêt d’un tel travail ont eu raison : deux ans plus tard, rien n’a bougé. On en est toujours là. Et on attend toujours.

«Intoxication» de Stéphane Horel, éd. La Découverte, 306 pp, 19€.

Les perturbateurs sont partout

Parabènes, phtalates, bisphénol A, dioxines… Ces substances chimiques sont soupçonnées, même à des doses infinitésimales, de perturber ou d’interférer sur notre système hormonal. Dans les faits, on les retrouve un peu partout, tant au travers des objets que nous utilisons quotidiennement, que par le biais de l’environnement.

Véritable bazar chimique, ces perturbateurs endocriniens sont ainsi présents dans des produits aussi banals que des packagings de l’alimentation, des bouteilles en plastique, des lingettes pour bébés… et même dans les produits cosmétiques (crèmes, parfums, vernis, etc.).

Aujourd’hui, peu de marques ont banni tous les perturbateurs endocriniens de leurs ingrédients. C’était un des constats tiré de l’enquête d’UFC-Que choisir en 2014, portant sur les produits d’hygiène et de beauté. Et depuis, faute de réglementation, cela n’a pas évolué.

Source © Liberation
lundi 31 mars 2014
Une étude révèle l'acquisition de traits féminins chez les mulets au large de la côte basque.

Un groupe de scientifiques espagnols a étudié les mulets à grosses lèvres (Chelon labrosus) dans six zones de la côte Basque et constaté dans tous les estuaires la présence de poissons mâles possédant des caractéristiques femelles. 

Selon Miren P. Cajaraville, directeur du groupe de recherche, les résultats indiquent que "la perturbation endocrinienne est un phénomène qui s'est propagé partout dans nos estuaires, ce qui signifie que, comme cela a été détecté dans d'autres pays, nous avons un problème avec les polluants".

Les polluants en cause

Ces polluants responsables de la féminisation des poissons mâles sur la côte basque appartiennent au groupe des perturbateurs endocriniens. Chimiquement, ils sont très différents les uns des autres, mais ils ont tous des effets similaires : en raison de leur interaction avec les hormones, ils détruisent l'équilibre hormonal et peuvent conduire à la féminisation ou la masculinisation d'un l'organisme.

Ces perturbateurs peuvent être trouvés dans les produits de tous les jours comme le bisphenol A (récemment interdit) et d'autres présents dans les plastiques, pesticides ou médicaments. Ces produits échappent aux systèmes de filtration des stations d'épuration et se retrouvent ensuite dans l'eau de mer. "C'est notre hypothèse principale", confirme Miren P. Cajaraville. "L'usine de traitement de l'eau est le premier endroit que nous avons étudié et c'est bien la principale source de polluants".

Des ovules dans les testicules

Selon les zones étudiées, entre 12 et 64% des poissons analysés montraient des signes d'intersexuation comme la présence d'ovules immatures dans les testicules. D'autre part, entre 60 et 91% des mulets mâles ont été testé positifs à deux indicateurs moléculaires. Les scientifiques ont ainsi noté la présence de vitellogénine (une protéine qui, en principe, est exprimée uniquement chez les femelles) dans le foie et dans le cerveau des mulets et mesuré la surexpression du gène qui code pour l'aromatase Cyp19a1b, une protéine impliquée dans la synthèse d'œstrogène.

En plus de mesurer les indicateurs de féminisation des populations de poissons mâles, l'équipe de recherche a également effectué une analyse chimique des zones d'échantillonnage. Selon Miren P. Cajaraville, les résultats sons significatifs car ils démontrent qu'il existe "des indicateurs biologiques clairs de la féminisation des poissons et confirment la corrélation existante entre la présence des polluants et le phénomène de féminisation ". Ces travaux font l'objet de publications dans deux revues scientifiques : le journal of Science of the Total Environment et le journal of Marine Environmental Research.


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