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lundi 15 octobre 2012
Depuis 10 ans, un groupe d'agriculteurs de la Province du Zhejiang, dans l'Est de la Chine, lutte contre une usine de produits textiles locale, affirmant que la pollution qu'elle émet empoisonne l'eau et est nuisible pour les habitants.

Mais toutes leurs requêtes et plaintes déposées devant les autorités locales chargées de l'environnement n'ont pas, jusqu'à aujourd'hui, réussi à trouver une solution à leur problème.

Mme Hu, une agricultrice locale, dit qu'elle se sentait impuissante, jusqu'à ce qu'un récent rapport d'une ONG ait révélé la semaine dernière que l'usine produisait des textiles pour des sociétés de renom, comme Marks & Spencer et Levi's. Le rapport a constaté que certaines marques ont fait preuve de laxisme dans la gestion du contrôle de la pollution dans leurs chaînes d'approvisionnement en Chine. Les habitants du village de Tangtou, à Shaoxing, placent leurs derniers espoirs dans ce rapport, intitulé « Nettoyage de l'industrie de la mode ».

Les exportations textiles chinoises font face à une période difficile. Leurs ventes dans le monde ont peu progressé, ou même ont baissé. Mais même ainsi, la Chine est encore le fabricant et le fournisseur le plus important du monde dans le domaine du textile. Il s'agit d'un processus intensif. Certaines étapes de transformation des matières premières comme le coton brut en tissu, telles que la teinture, ont besoin de grandes quantités d'eau et d'énergie, et l'absence de réglementation adéquate peut conduire à une grave pollution.

« Les usines de produits textiles émettent des fumées nauséabondes tous les jours, et parfois elles déchargent leurs déchets dans la rivière », a déclaré Mme Hu, mère d'un bébé de 14 mois. La maison de Mme Hu est située à moins de 50 mètres de l'usine, qui se trouve de l'autre côté de la rivière, en face de sa maison.

« Les enfants ont des saignements nez, des étourdissements et ils toussent lorsque les odeurs nocives se diffusent. Nous ne buvons jamais l'eau de la rivière, et on ne l'utilise même pas pour faire pousser des légumes. Chez plusieurs villageois, un cancer du poumon a été diagnostiqué depuis que l'usine a été ouverte en 2003 », a-t-elle déclaré au Global Times. Quelque 30 ménages ont subi le pire de la pollution, et certaines personnes ont été frappées quand elles ont essayé d'approcher l'usine pour essayer de discuter, a-t-elle ajouté.


« Les grandes marques et grands détaillants internationaux ont déplacé leurs commandes hors de la Chine ces dernières années. Nous constatons que de plus en plus de vêtements que l'on trouve dans les centres commerciaux américains et européens portent des étiquettes indiquant qu'ils sont fabriqués en Asie du Sud-Est, en Asie du Sud et même en Afrique. Cependant, la diminution des exportations chinoises de textiles concerne principalement le secteur de la transformation des vêtements », a déclaré Ma Jun, Directeur de l'Institut des Affaires Publiques et Environnementales (Institute of Public and Environmental Affairs, IPE), qui a publié le rapport sur l'industrie textile en collaboration avec quatre autres ONG.

Les exportations globales de produits textiles sont restées stables de janvier à juillet de cette année par rapport à la même période de l'an dernier, et elles ont diminué en août, a déclaré le 10 octobre, lors d'une conférence, Xia Lingmin, Directeur adjoint du Conseil National Chinois du Textile et de l’Habillement (China National Textile and Apparel Council, CNTAC). Les difficultés économiques mondiales, un marché en baisse en Chine et l'augmentation des coûts de main-d'œuvre et de l'énergie constituent des défis pour l'industrie textile de la Chine, a-t-il dit. Mais alors même que l'ensemble du secteur fait face à des problèmes, la valeur des exportations chinoises de produits textiles imprimés et teints chinois ont bondi de 31% en 2012 par rapport à l'année précédente, selon le CNTAC.

« Du fait d’une application laxiste des règlements et du faible coût des intrants comme l'eau, les entreprises textiles ne se donnent toujours pas la peine de mettre en œuvre des méthodes de production plus écologiques, et ne se conforment même pas aux lois et règlements sur l’environnement », selon Ma Jun.

L'industrie textile figure au quatrième rang de la DCO (demande chimique en oxygène) d’émissions d’eaux usées sur les 39 industries majeures de la Chine, selon l'Annuaire Statistique de l'Environnement en Chine pour 2010.

Plus de 40 grandes marques de vêtements internationales, comme H&M, Nike, Marks & Spencer et Disney, se sont rendues coupables de gestion laxiste de l'environnement sur leurs chaînes d'approvisionnement en Chine, selon le rapport de l'ONG. De nombreuses sociétés de renom ont des fabricants et des fournisseurs de textiles en Chine, mais seules quelques-unes ont fait un bon travail sur le contrôle de la pollution dans leurs usines textiles chinoises, qui sont principalement situées dans des endroits comme les provinces du Zhejiang et du Guangdong, selon le rapport.

La société Zhejiang Qingmao Textile Printing and Dyeing Company, qui a été mentionnée dans le rapport comme étant l'un des fournisseurs de produits textiles pour des marques comme Marks & Spencer, se serait rendu coupable de pollution du village de Tangtou à Shaoxing, où Mme Hu et ses enfants vivent. Bien que les défenseurs de l’environnement aient effectué plusieurs visites et aient essayé de communiquer avec Marks & Spencer, le plus grand groupe de distribution britannique, les ONG n'ont pas pu obtenir une réponse positive concernant les solutions possibles, selon le rapport.

« L'entreprise nous dit que ses émissions polluantes restent dans la fourchette standard. Les responsables locaux de l'environnement ont aussi visité l'usine, mais nous n'avons pas constaté de changements positifs », a déclaré Mme Hu.

Wei Zhiguo, Directeur de la société Zhejiang Qingmao, a déclaré au National Business Daily qu'ils ont procédé au traitement des eaux usées et que les émissions dans l’atmosphère ont été maîtrisées.

Beaucoup d'entreprises sont soucieuses des problèmes environnementaux dans le cadre de la production de vêtements, mais la première étape de l'impression textile et de la teinture est souvent négligée, selon le rapport. Les entreprises de teinture et de finition abaissent les normes environnementales pour remporter des commandes, a-t- il dit, et certaines entreprises choisissent des moyens de traitement des textiles moins chers mais polluants afin que leurs coûts soient plus compétitifs sur le marché.
 

« Je suis heureux que les organisations environnementales aient fait des efforts en matière de protection de l'environnement, mais il y a une partie du rapport qui n'est pas nécessairement scientifique et objective », a déclaré au journal China Textile News, un journal de l’industrie, Li Jinbao, directeur de l’Association Chinoise de la Teinture et l’Impression, après que l’ONG ait publié son premier rapport sur l’industrie textile en avril.

M. Li affirme que les données contenues dans le rapport ne sont pas à jour, de même que le rapport ne reflète pas les vrais problèmes et la situation réelle de l'industrie textile chinoise quant à son développement à grande échelle et aux exigences du marché, à l'allocation des ressources et à la distribution. Seul un petit nombre d'entreprises textiles violent la réglementation et l'industrie s'améliore dans les domaines de la technologie et de la réduction des émissions de pollution, a-t-il dit.

« Nous pouvons avoir des opinions différentes sur certaines questions, mais après tout nous faisons des efforts dans la même direction », a déclaré Ma Jun, ajoutant que certaines entreprises ont répondu aux demandes de l'ONG concernant le contrôle de la pollution. Des marques comme H&M, Nike, Burberry et Gap ont mis en place un système régulier dans lequel ils publient des données concernant la pollution dans leur chaîne d'approvisionnement, et Adidas, Nike, Levi‘s et H&M ont commencé à étendre leur contrôle vers le bas sur les fournisseurs de teinture et de finition, selon le rapport.


Quelque 22 marques, dont Marks & Spencer, Disney, JC Penney, Polo Ralph Lauren et Tommy Hilfiger, ont en revanche soit ignoré les demandes des ONG, soit décidé de ne pas répondre au problème d'une manière satisfaisante, selon le rapport.


Zhu Peng, un étudiant de Beijing, a déclaré que ses amis et lui ont l'intention de soumettre une pétition à Marks & Spencer après avoir recueilli des signatures auprès des étudiants à Beijing et à Shanghai, dans le but d’attirer davantage l'attention du public sur les problèmes environnementaux dans l'industrie textile.

H&M a dit qu'elle répondrait à la fin du mois. Marks & Spencer n'a de son côté pas répondu à un courriel envoyé dimanche, même si un accusé de réception informatique a montré qu'il avait été ouvert. Une responsable de la communication de Zara a pour sa part dit au Global Times dimanche qu'elle transmettrait la demande d'entretien à son équipe du siège social en Espagne.


Source: © le Quotidien du Peuple
vendredi 16 septembre 2011
Selon l'ONG BirdLife Chypre, « un massacre d'oiseaux à grande échelle » se déroule actuellement sur l'ile de Chypre en méditerranée. Près de 90 000 oiseaux auraient déjà été tués entre le 1er et le 11 septembre s'alarme l'ONG.

"Nous estimons que quelques 89 000 oiseaux ont été tués illégalement par l'utilisation de filets et des bâtons englués entre le 1er et le 11 septembre" affirme Martin Hellicar, directeur des campagnes de BirdLife Chypre. L’automne étant la principale période de piégeage, « le nombre d'oiseaux tués devrait encore augmenter au cours des 2 prochains mois », à moins qu'une action décisive ne soit prise aujourd'hui pour faire appliquer la législation, s’alarme le responsable associatif.

"En 2010 nous estimons que plus 1,4 millions d'oiseaux ont été tués dans les régions de Famagouste et de Larnaca, une mortalité sans précédent depuis que l'ONG surveille cette chasse interdite sur l'ile, depuis 2002. Un tels niveaux de piégeage, constitue un véritable désastre écologique."

La forte demande touristique d'un plat gastronomique local traditionnel , "l'ambelopoulia ", qui est d'ailleurs interdit à la vente, en est la principale raison.

"Nous nous devons de communiquer l'ampleur de ce massacre aux touristes afin d'éveiller les visiteurs au problème et à son impact écologique ", ajoute Martin Hellicar


Une pétition est en ligne ici: http://www.gopetition.com/petitions/call-for-action-against-illegal-bird-trapping-in-cyprus.html

le site de birdlife Chypre est ici: http://www.birdlifecyprus.org/

mercredi 14 septembre 2011
Une pétition contre le chalutage en grand fond avant une réunion à l'ONU

PARIS - Plus de 250.000 personnes avaient signé mercredi à la mi-journée une pétition internationale en ligne réclamant l'arrêt du chalutage des grands fonds marins, pratique qualifiée de destructrice pour les océans, avant une réunion sur le sujet jeudi et vendredi à l'ONU.

Adressée aux membres de l'Assemblée Générale de l'ONU, cette pétition lancée mardi leur demande de travailler à la mise en place d'une interdiction de la pratique destructrice du chalutage de fond.

L'industrie de la pêche utilise de longues chaînes à lourds maillons métalliques pour traîner de grands filets qui raclent les fonds marins en quête de poissons et emportent tout sur leur passage. Cette technique (...) revient à saigner à blanc une forêt pour attraper un perroquet, souligne un texte accompagnant cette pétition .

A New York, des décideurs à l'ONU se réunissent pour évaluer l'impact de cette pratique destructrice, rappelle ce texte, qui vise le demi-million de signataires avant le début de cette réunion, prévue jeudi et vendredi.


Cette pétition représente une opportunité énorme de dire notre colère face à la destruction des espèces et écosystèmes marins vulnérables par une poignée de navires dans le monde (moins de 300), qui ne seraient pas capables de pêcher à de si grandes profondeurs (jusqu'à 2.000 mètres) sans le renfort des subventions publiques octroyées par les gouvernements, souligne pour sa part Claire Nouvian, présidente de l'association Bloom qui avait publié en mai un rapport sur le profil socio-économique de la pêche profonde.

Source ©AFP / 14 septembre 2011 13h28


La pétition est en ligne...ça urge...faite passer...

"...Nos océans subissent une destruction systématique, et nous avons 36 heures pour tirer la sonnette d'alarme. L'industrie de la pêche utilise de longues chaînes à lourds maillons métalliques pour traîner de grands filets qui raclent les fonds marins en quête de poissons et emportent tout sur leur passage. Cette technique du "chalutage de fond" revient à saigner à blanc une forêt pour attraper un perroquet, et seul notre cri d'indignation pourra y mettre fin...."


C'est ici:
http://www.avaaz.org/fr/stop_ocean_clear_cutting_fr/?cl=1271445566&v=10232

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Les océans sont en train de mourir, tout particulièrement en Europe. 7 espèces sur 10 sur les étals des poissonneries sont surexploitées ou au bord de la surexploitation.

Les ressources marines sont passé de 15 millions de tonnes par an aprés guerre à plus de 80 millions de tonne en 1990, Philippe Cury, directeur de recherche à l'Institut de recherche pour le développement, estime pour sa part que 90% des stocks sont surexploités.

Au niveau de la FAO on avance un chiffre d'un peu moins de 80% des stocks pleinement exploités et d'un quart surexploité.


Nous sommes passé de 30.000 pêcheurs en France il y a 30 ans à 10.000 aujourd’hui.

Une étude de Nature estime que si nous n’arrêtons pas ce scénario, toutes les pêcheries auront fermé d’ici à 2048.

Le système européen, qui finance les pêcheries à 80%, ne tourne pas rond. Et les techniques utilisées, comme le chalutage qui rejette 40 à 60% de ses prises, sont extrêmement destructrices pour la biodiversité.


Si on ne veut pas d’un océan vide d’ici 35 ans, l’Union européenne doit radicalement changer la Politique commune des pêches qui régit les flottilles européennes. Le chalutage profond est emblématique de ces mauvaises pratiques : trop industrielles, elles menacent des espèces qui se reproduisent très tardivement, et sont donc particulièrement vulnérables à la pêche.

Les études parlent d'elles mêmes: de 25 000 poissons/km 2 avant la pêche profonde, dans les années 80, on est passé à 7 225 poissons/km2 aujourd’hui soit presque 4 fois moins. De plus, le chalutage profond entraîne des rejets en mer d’animaux morts, allant jusqu'à 40 %, et détruisent le fond des océans en arrachant les organismes qui s’implantent sur les fonds : coraux, éponges, etc.

il faut de toute urgence:

  • Réduire la surcapacité de pêche et mettre fin aux pratiques destructrices comme le chalutage profond
  • Créer un réseau de réserves marines couvrant 40% de la surface des océans au niveau mondial, dont une partie en mer du Nord et en Méditerranée.
  • Garantir la transparence dans le processus de décision et la collecte des données ainsi que la traçabilité des produits de la mer depuis leurs lieux de prise jusqu’aux étals de vente.


jeudi 18 août 2011
Les déboisements en Amazonie brésilienne ont augmenté de 15% lors des douze derniers mois, même s'ils ont chuté de moitié en juillet par rapport à juillet 2010, a indiqué mercredi l'Istitut brésilien de recherches spatiales (Inpe) sur la base de données satellitaires provisoires.

De juillet 2010 à juillet 2011, la forêt amazonienne a perdu 2.654 km2 de végétation dans les Etats du Mato Grosso (centre-ouest) et du Para (nord) notamment. Au cours des douze mois précédents, elle en avait perdu 2.295.

Pour le seul mois de juillet, 225 km2 de forêt amazonienne ont été dévastés mais cela représente la moitié seulement de la zone déboisée l'an dernier: 485 Km2.

Après un effort notoire du gouvernement dans la lutte contre la déforestation, celle-ci avait connu une hausse brutale en avril dernier: 477 km2 de forêts étaient partis en fumée, dont près de 406 km2 dans le seul Etat du Mato Grosso, terre d'élevage de bovins et grand producteur de soja.

Face à cette recrudescence, la ministre brésilienne de l'Environnement, Izabella Teixeira, avait annoncé la création d'un cabinet de crise contre la déforestation, et en mai les déboisements avaient reculé à 268 km2. Les chiffres de mercredi sont calculés à partir d'un système satellitaire (Deter) qui surveille en temps réel les zones de plus de 25 hectares, mais qui ne donne pas de résultat définitif.

Lors du sommet sur le climat de l'ONU, en 2009 à Copenhague, le Brésil s'était engagé à réduire la destruction de la forêt amazonienne de 80% d'ici à 2020.


Source ©AFP / 17 août 2011


Une pétition de l'Organisation Avaaz contre la déforestation de la foret Amazonienne est en ligne depuis 2 jours, elle cherche à atteindre les 1 500 000 signatures...moi je pense qu'on peut faire mieux...

"A l'attention de la Présidente Dilma Rousseff:

Nous vous appelons à prendre des mesures immédiates pour sauver les précieuses forêts du Brésil en opposant votre veto aux amendements au code forestier. Nous vous demandons également d'empêcher d’autres meurtres de militants écologistes et de travailleurs en durcissant les poursuites à l'encontre des exploitants forestiers illégaux et en renforçant la protection des personnes menacées d’agression ou de mort. Le monde a besoin du Brésil comme leader international sur l’environnement, une action forte de votre part aujourd'hui sauvegardera la planète pour les générations futures."


...si vous vous sentez concerné(e) ...signez...et faite passer...

C'est là : http://www.avaaz.org/fr/save_the_amazon_b/?fp

mercredi 1 juin 2011
BRASILIA - L'Institut brésilien de l'Environnement (Ibama) a donné mercredi son feu vert définitif à la construction du barrage controversé de Belo Monte en Amazonie, le troisième plus grand du monde, auquel s'opposent des écologistes et des communautés indigènes.

L'Ibama a octroyé (au consortium d'entreprises brésiliennes à dominante publique) Norte Energia la licence formelle qui autorise la construction du barrage Belo Monte, sur le fleuve Xingu dont la capacité installée sera de 11.233 MW, a indiqué l'organisme gouvernemental dans un communiqué.

Les communautés indigènes de la région et les écologistes ont lancé une campagne contre ce barrage qui inondera une zone de 500 km2 sur les berges du Xingu, à l'ouest de l'Etat amazonien du Para, et obligera au déplacement de 16.000 personnes, selon les chiffres officiels.

Leur lutte a été popularisée par des vedettes comme le réalisateur canadien du film Avatar James Cameron, venu plusieurs fois au Brésil pour soutenir les indiens.

Ce sont des travaux criminels qui entraînent la destruction d'une grande zone de forêt, qui affecte la vie de dizaines de milliers de personnes et qui assèchera le fleuve (Xingu) pour cinq villages indiens, a déclaré à l'AFP Antonia Melo, responsable du Mouvement Xingu vivant pour toujours.

La commission interaméricaine des droits de l'Homme de l'Organisation des Etats américains a demandé également au Brésil d'en suspendre la construction.

Selon l'Ibama, le feu vert pour le barrage se fonde sur une analyse technique sérieuse du projet qui comprend des compensations sociales et écologiques pour les populations traditionnelles.

A un coût estimé à 11 millions de dollars, Belo Monte sera le troisième barrage le plus grand au monde (11.000 MW), derrière celui des Trois Gorges en Chine (18.000 MW) et celui d'Itaipu (14.000 MW) à la frontière avec le Brésil et le Paraguay.

Le feu vert arrive au moment idéal pour le début des travaux, en juin, quand commence la saison sèche, a souligné Norte Energia dans un communiqué. Le consortium espère respecter les délais de construction: la première turbine doit être mise en route en 2015 et la dernière en 2019.

Aujourd'hui la capacité énergétique installée du Brésil est de 112.000 MW et doit doubler d'ici à 2019 en passant à 240.000 MW afin d'accompagner la croissance du géant latino-américain, selon le gouvernement.


Source: © AFP / 01 juin 2011

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Raoni. A lui seul ce nom évoque tout le mystère et la puissance du peuple Kayapo dont il est l’un des guides. Obstiné et insoumis, ce chef charismatique poursuit depuis quatre décennies une croisade pour tenter de sauver la forêt amazonienne qui l’a vu naître. Père fondateur du mouvement pour la préservation des dernières forêts tropicales, patrimoine inestimable pour l’humanité tout entière, il a risqué maintes fois sa vie pour cette noble cause.

Au-delà de l’Amazonie, Raoni est le symbole vivant du combat que mènent les dernières tribus du monde pour protéger une culture millénaire, en connexion directe avec la nature : une lutte pour la vie. Plusieurs centaines de générations séparent de notre époque les us et coutumes de ces populations menacées. Raoni a franchi ce gouffre immense durant sa seule existence, tout en conservant son stoïcisme et sa dignité. Il a rencontré les puissants de la planète mais vit dans une simple hutte et ne possède rien.

Ici un site en français de soutien à Raoni: http://raoni.fr/

...Signez la pétition de soutien ci-dessous...et faite passer...


L'adresse de la pétition de soutien à Raoni contre le projet
Belo Monte
: http://www.raoni.fr/signature-petition-1.php



vendredi 29 avril 2011
Nature Alerte relaie l'appel d'Avaaz.org

Dans 2 jours, l'Union Européenne va interdire une grande partie des remèdes à base de plantes, obligeant certains d'entre nous à prendre des médicaments chimiques qui gonflent les profits de l'industrie pharmaceutique.

La directive européenne érige des barrières d'accès importantes à tout remède à base de plantes qui n'aurait pas été sur le marché depuis 30 ans, ce qui inclut pratiquement tous les remèdes traditionnels chinois, ayurvédiques et africains. C'est un changement draconien qui donne un avantage aux grandes entreprises pharmaceutiques et ignore des milliers d'années de connaissances médicales.

Nous devons faire entendre un gigantesque appel contre ces mesures. Ensemble, nos voix peuvent faire pression sur la Commission Européenne pour qu'elle révise la directive et sur nos gouvernements pour qu'ils refusent de l'appliquer, tout en apportant une légitimité à un recours devant les tribunaux.

Signez la pétition (cliquez sur le lien) , faites suivre ce message à tous et allons jusqu'à un million de voix pour sauver les remèdes à base de plantes.

Source : Avaaz.org
jeudi 14 avril 2011
En guerre contre le Cruiser 350. Ce produit dont le nom pourrait être celui d'une voiture, met en colère les apiculteurs, responsable selon eux de la mortalité des abeilles.

Ils ont manifesté mardi à Poitiers pour protester contre la décision des autorités d'autoriser sur le marché une nouvelle version. Un camouflet pour la profession car le Conseil d'Etat avait interdit en 2008 une version précédente, jugée incompatible avec l'environnement.

Les apiculteurs reprochent à la molécule du Cruiser 350, la thiaméthoxam, qui intervient dans le traitement des semences de maïs, de se retrouver dans la sève et jusque dans les fleurs des plantes, et de rester dans la terre pendant trois ans, contaminant selon eux les cultures .


Certains apiculteurs parlent d'une surmortalité de 30 à 50%. Le pesticide agit sur le système nerveux des abeilles. « Elles se retrouvent désorientées, ne butinent plus » fulmine Gérard Thoreau, 54 ans, apiculteur à Limalonges interrogé par la Nouvelle République. Cet hiver, l'apiculteur a perdu 400 de ses 800 colonies d'abeilles. « La moyenne des pertes par apiculteur est de 35 % chaque année, contre 5 % avant 1997 et l'entrée en vigueur des insecticides néonicotinoïdes (…) Et si le Cruiser est autorisé sur le colza, c'est la fin de la profession » reprend Francis Chauvancy apiculteur à Saint-Lin dans les colonnes du quotidien régional.


Les apiculteurs ont obtenu le soutien de différentes personnalités politiques, dont celui de Ségolène Royal, présidente socialiste de la région Poitou-Charentes.

Source: France Soir

Urgence pour les abeilles ...signez la pétition, c'est ici

film: explication des problèmes rencontrés par les apiculteurs avec le cruiser 350 ( c'est pas nouveau)


Abeille miel cruiser_ par sudotone
vendredi 25 mars 2011


Nature Alerte relaie :

Source ici: Agoravox.fr


Les États confisquent les chiffres relatifs à la contamination nucléaire



La publication des données du réseau CTBTO (1) ainsi que des installations nucléaires nordaméricaines nous aurait renseigné précisément sur les niveaux de contamination de l’air et nous aurait permis d’évaluer de façon fiable les niveaux de risque bien avant que les masses d’air contaminé n’arrivent sur l’Europe. La CRIIRAD lance un appel international, invitant citoyens, associations, scientifiques, élus… de tous pays à se mobiliser à ses côtés afin d’exiger que les résultats relatifs à la contamination radioactive de l’air, obtenus grâce à l’argent public, soient mis à disposition du public ET SERVENT A SA PROTECTION.


1- Pas de données interprétables pour l’Amérique du nord !

Plus de 10 jours après le début des rejets radioactifs, les masses d’air contaminé ont traversé des pays aussi étendus que les Etats-Unis et le Canada, des pays qui disposent d’équipements performants, leur permettant d’évaluer précisément l’activité volumique (2) de chacun des radionucléides présents, en tout cas des plus problématiques d’un point de vue sanitaire. Or, en dépit des recherches conduites depuis plusieurs jours, la CRIIRAD n’a trouvé aucun chiffre sur la contamination de l’air. Ne sont accessibles que des résultats sur les débits de dose ou les taux d’émissions de rayonnements bêta et gamma, qui ne permettent pas d’évaluer le niveau de risque. Ils ne permettent d’ailleurs même pas d’établir une relation certaine entre l’élévation des valeurs et le passage des masses d’air contaminé.

La CRIIRAD va adresser, aux ambassades de ces deux pays, des demandes officielles pour que soient publiés dans les meilleurs délais les résultats que détiennent forcément les exploitants d’installations nucléaires, qu’elles soient civiles ou militaires.

Précisons à cet égard que les balises de l’IRSN implantées à Saint-Pierre et Miquelon, en Martinique et en Guadeloupe ne mesurent que le niveau de rayonnement (les débits de dose exprimés en μSv/h). Ces résultats ne permettent pas d’évaluer les risques.

2- Black-out international

A la recherche de stations de mesures intermédiaires entre le Japon et la France, le laboratoire de la CRIIRAD s’est tourné vers le réseau mis en place par l’Organisation du Traité d’Interdiction Complète des Essais nucléaires (OTICE) (1).

Il s’agit de stations de mesure réparties sur l’ensemble de la planète et qui enregistrent divers paramètres afin de contrôler qu’aucun essai nucléaire souterrain n’est effectué en violation des dispositions du traité (cf. Corée du Nord). Elles mesurent plusieurs paramètres : données sismiques, hydroacoustiques, infrasoniques et radionucléides. Une soixantaine de stations sont équipées de laboratoires d’analyses radiologiques (voir carte ci-dessous). Elles sont capables de mesurer de très faibles niveaux de contamination dans l’air car l’une de leurs missions est de mesurer la contamination consécutive aux essais nucléaires atmosphériques.
Ces laboratoires disposent de systèmes de détection de la radioactivité parfaitement adaptés à l’identification et à la quantification des produits radioactifs présents dans les masses d’air contaminé par les rejets radioactifs de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi.

Le samedi 19 mars, la CRIIRAD adressait donc une demande de communication de résultats à Mme THUNBORG, responsable de l’information publique à l’OTICE. Elle nous répondait le lendemain soir qu’elle transmettait notre demande à la division en charge de la sécurité des données (3). Le lundi, faute de réponse, la CRIIRAD réitérait sa demande en insistant sur l’urgence de la situation et en précisant que faute de réponse rapide elle dénoncerait publiquement la situation. Mme THUNBORG nous conseillait par retour de nous adresser aux autorités françaises et, soucieuse de nous aider, nous orientait vers des articles où des institutions autrichiennes, suédoises ou allemandes qui ont accès aux données avaient laissé filtrer quelques résultats. Nous obtenions ainsi quelques données mais trop parcellaires et impossible à corréler dans l’espace et dans le temps.

Deux heures plus tard, un courriel de M. SCOTTI (4), nous indiquait que « Les données collectées par le réseau des stations du STP ne peuvent être communiquées qu'aux correspondants (centres de données nationaux) désignés par les Etats Signataires du TICE. Pour la France, l'organisme destinataire de ces données est le Commissariat à l'Energie Atomique ». Le responsable du laboratoire de la CRIIRAD s’adressait le jour même au CEA : « Je vous serais reconnaissant de m’indiquer comment la CRIIRAD peut avoir accès, dans les meilleurs délais, aux données collectées par les stations de surveillance du réseau de l'OTICE, en particulier en ce qui concerne les radionucléides (notamment Cs137 et I131, Sr 90, gaz rares, tritium, transuraniens). Il s’agit pour nous d’affiner les prévisions concernant l’impact des rejets du site de Fukushima et de répondre aux inquiétudes du public français. »

La réponse nous parvenait le lendemain en milieu de journée : aucune donnée ne nous sera communiquée. Le réseau international de mesure obéit à des règles de confidentialité définies strictement par les Etats membres du traité d’Interdiction Complète des Essais. « Les données sont donc uniquement transmises à des points de contact nationaux nommés par les Etats qui en font une analyse dans l'objectif du Traité, à savoir détecter tout essai nucléaire qui aurait été mené en contradiction avec l'engagement des États ayant ratifié le TICE. ». Pour la France, il s’agit du Commissariat à l’Energie Atomique (CEA), organisme en charge du développement des activités nucléaires militaires et civiles.

La réponse indiquait en outre que « Suite à l'accident de Fukushima, à la demande des États signataires du TICE, les données sur l’activité des radionucléides sont transmises à l'Agence Internationale de l'Energie Atomique (AIEA) et à l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Les équipes de ces deux organisations en charge des aspects sûreté et radioprotection peuvent ainsi les utiliser en complément de l'ensemble des données fournies par les États, pour établir les évaluations nécessaires à la protection des personnes susceptibles d'être concernées par les retombées de l'accident. ». Or, ni l’AIEA, ni l’OMS n’ont rendu publics ces résultats.

Il faut dire que l’AIEA a en charge la promotion des activités nucléaires civiles (voir statuts) (5) et que l’OMS qui est normalement en charge de la santé publique a signé avec l’AIEA, dès 1959, un accord qui dispose que les deux agences « agiront en coopération étroite et se consulteront régulièrement ».

3- BILAN

Depuis plus de 10 jours, la centrale nucléaire de FUKUSHIMA DAIICHI rejette des produits radioactifs dans l’atmosphère : ces rejets ne sont ni maîtrisés ni quantifiés. Dans le même temps des stations de mesures réparties sur l’ensemble de notre planète enregistrent les niveaux de radioactivité de l’air et suivent pas à pas l’évolution de la radioactivité dans l’espace et dans le temps… mais veillent jalousement à ce que ces données restent secrètes.

Cette situation est choquante en temps normal, totalement inacceptable en situation d’urgence radiologique. Et d’autant plus inacceptable que ce réseau de mesure est financé par l’argent public !

Les Etats cotisent en effet à hauteur de 55 700 000 € pour faire fonctionner les stations de mesure. Les citoyens américains respirent depuis le 17 mars dernier les particules radioactives rejetées par les réacteurs nucléaires et les piscines de stockage de combustible irradié de la centrale de FUKUSHIMA DAIICHI. Premiers contributeurs au budget du réseau, ils apprécieront de n’avoir strictement aucune donnée en contrepartie de leurs 12 millions d’euros. Un sacré marché de dupes. A noter qu’avec un versement de 3 600 000 €, les Français ne sont pas mieux lotis.

La CRIIRAD reçoit des centaines d’appels de personnes inquiètes de la contamination de l’air qu’elles respirent, inquiètes pour elles-mêmes et surtout pour leurs enfants. Elle aimerait informer correctement, et si possible rassurer, mais sur des bases solides, tous ses correspondants, qu’ils habitent le Finistère, la Martinique ou la Corée du Sud. Elle invite chaque citoyen, chaque association, chaque scientifique, chaque élus… à se mobiliser pour obtenir la levée du secret sur les niveaux de contamination de l’air. Une pétition sera prochainement mise en ligne pour collecter des signatures sur la France mais chacun peut d’ores et déjà relayer la mobilisation à l’étranger et intervenir auprès des autorités de son pays pour dénoncer la situation.

Plus d'infos:

http://www.criirad.org/

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lundi 14 mars 2011

Je vous invite à visiter le site de Fabrice Nicolino qui mêne un combat remarquable contre l'exploitation du gaz de schiste, il a besoin de notre soutien...

Son site est ici http://fabrice-nicolino.com

Extrait d'un de ses articles daté du 11 Mars


...Je rappelle que les politiciens mentent, voilà tout. Or deux forces géantes se coalisent pour lancer en France l’insupportable aventure des gaz et du pétrole de schistes. D’une part, le corps multiséculaire des Ingénieurs des Mines, pour des raisons que j’ai eu l’occasion d’aborder, et que je ne peux développer ici. Et d’autre part, la proximité presque obscène entre des acteurs majeurs du dossier - entre autres Paul Desmarais (senior) et Albert Frère - et Nicolas Sarkozy.
En somme, tout commence. C’est maintenant, et plus que jamais, qu’il faut faire monter les enchères. Il faut faire entendre au pouvoir que le prix politique à payer pour l’extraction des gaz est trop élevé pour le candidat Sarkozy. L’élection présidentielle de 2012, c’est demain. Il faut donc maintenir et même augmenter massivement la pression. Tous les actes, tous les engagements, toutes le signatures sont les bienvenus dans les trois mois qui nous séparent de ce rapport confié aux INSPIRATEURS de ce crime de masse contre la nature et le climat.

Ce n’est pas le moment de s’arrêter, c’est le moment d’accélérer. EN AVANT ! ET TOUS !


Parlez en à vos amis et signez la pétition c'est ici (cliquez sur le lien)

L'ONU est très préoccupée par la forte voire très forte mortalité des abeilles qui dans de nombreuses régions du monde succombent aux effets de la pollution et des pesticides notamment. Ce phénomène est principalement observé dans les pays industrialisés de l'hémisphère nord, explique le Programme des Nations Unies pour l'environnement .

Parmi la douzaine de facteurs explicatifs recensée dans le document figurent l'emploi des pesticides, la pollution de l'air, la réduction du nombre de plantes à fleurs et d'apiculteurs en Europe, ainsi que l'existence d'un parasite mortel qui tue uniquement les abeilles de l'hémisphère nord.

La mortalité des abeilles est en progression et pourrait avoir de graves conséquences sur la production alimentaire puisque plusieurs plantes, cultivées ou non, sont pris d'assaut par les abeilles. Les scientifiques ne sont pas parvenus à mesurer l'impact direct de la mortalité des abeilles sur les cultures de fruits et légumes.

"Le fait est que sur les 100 espèces végétales qui fournissent 90 % de la nourriture dans le monde, plus de 70 sont pollinisées par les abeilles" a déclaré le directeur exécutif du Programme des Nations Unies pour l'environnement, Achim Steiner. Or, le nombre de colonies d'abeilles a chuté de 10 à 30 % ces dernières années en Europe, de 30 % aux Etats-Unis, de plus de 85 % au Moyen-Orient, a expliqué Peter Neumann, un des auteurs de ce rapport de l'ONU sur la disparition des abeilles. Un syndrome qui n'affecte pas l'Amérique latine, l'Afrique et l'Australie.


Parlez en à vos amis et signez la pétition c'est ici: Avaaz


vendredi 11 mars 2011

Des milliards d'abeilles sont en train de mourir en silence, ce qui met en danger nos cultures et notre alimentation. Et une interdiction généralisée d'un groupe de pesticides toxiques pourrait éviter l'extinction des abeilles. Mais la France, sous la pression des puissantes industries chimiques, vient de renouveler l'autorisation d'un de ces pesticides. Pour sauver les abeilles, et alors que le débat fait rage pour répondre à cette crise, nous devons faire changer la position de notre gouvernement. Envoyons un appel gigantesque au gouvernement français, très influent sur la politique agricole européenne, pour faire interdire ces produits chimiques et sauver nos abeilles et notre alimentation. Signez la pétition urgente, et faites la suivre à tous, nous la remettrons au Ministre français de l'agriculture Bruno Le Maire et aux décideurs européens.

Parlez en à vos amis et signez la pétition c'est ici: Avaaz

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