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lundi 7 septembre 2015
D'après les scientifiques, entre 4,7 et 12,7 millions de tonnes de plastique se trouvaient dans les océans de la planète en 2010.

Au fil des décennies, les détritus du monde entier ont formé 5 "îles de déchets" aussi appelées "continents de plastique" qui ne cessent de tourbillonner à travers les eaux du globe. Ces déchets sont surtout présents dans l'Océan indien, dans le pacifique (Nord et Sud), ainsi que de part et d'autre de l'Océan Atlantique. 

Afin de représenter l'ampleur et les mouvements de ces "océans de plastique", la Nasa a réalisé une carte interactive sur la base des données recueillies par des bouées, disposées en mer par des scientifiques. 

Pour mettre au point cette animation, l'agence spatiale américaine a analysé les données recueillies par ces bouées depuis maintenant 35 ans.

"Si nous lâchons toutes les bouées en même temps, nous pouvons observer leur processus de migration (…) le nombre de bouées diminue car certaines ne durent pas aussi longtemps que les autres" explique Greg Shirah, responsable du studio de visualisation scientifique de la Nasa.

Les nouvelles estimations réalisées grâce à ces données sont bien plus alarmantes que les études menées au cours des précédentes décennies, qui tenaient seulement compte des déchets flottant à la surface de l'eau, et non de ceux qui se trouvent désormais au fond des océans ou encore coincés dans des blocs de glace. 

Grâce à cette animation visuelle, la Nasa veut illustrer à quel point les comportements humains détruisent les océans avec ces déchets, jusqu'à un seuil de pollution aujourd'hui très critique. D'après les scientifiques, entre 4,7 et 12,7 millions de tonnes de plastique se trouvaient dans les océans de la planète en 2010. 

Selon les estimations les plus optimistes, 8 millions de tonnes de bouteilles en plastiques, sac, jouets, et autres déchets finissent chaque année leur parcours dans les océans de notre planète. Malgré la difficulté qu'éprouvent les scientifiques à chiffrer très précisément le nombre de tonnes de déchets, car beaucoup ont certainement coulé au fond de l'eau, les chercheurs affirment que leur proportion réelle pourrait s'élever à 12,7 millions chaque année. 

"Même si les bouées et les particules n'ont pas réagi en simultanément aux courants, le fait que les données soient recueillies surtout dans certaines régions attestent de la crédibilité du résultat" estime la Nasa. 

Selon de docteur Jenna Jambeck, de l'université de Géorgie (Etats-Unis), nous sommes aujourd'hui "submergés par nos déchets". Les chercheurs rappellent également que cet "océan de plastique" est très dangereux pour la faune et la flore marine. 

Par exemple, les tortues prennent souvent des sacs plastiques pour des méduses. Ces sacs obstruent l'estomac de l'animal, ce qui engendre une malnutrition puis la mort. De la même manière, les oiseaux marins confondent souvent le plastique flottant à la surface de l'eau avec leur nourriture. Chez certaines espèces comme le Fulmar boréal, qui peuple les falaises rocheuses, près de 90% des animaux retrouvés morts en Mer du Nord avaient de la matière plastique dans l'estomac.

Selon Roland Geyer, de l'Université de Californie, il est financièrement infaisable d'entreprendre un nettoyage de grande ampleur océans pour supprimer ces déchets en plastique. "Cela veut dire qu'il faut avant tout empêcher ces déchets de se retrouver en mer grâce à une meilleure gestion, au recyclage, et à une meilleure conception des produits" estime-t-il. 

Les scientifiques ont pu réaliser ces animations en étudiant les données relatives aux quantités de déchets émis, et à leur trajet au large de côtes de 192 pays. 

Plus de la moitié du plastique qui pollue les océans de la planète provient de 5 pays : la Chine, l'Indonésie, les Philippines, le Vietnam et le Sri Lanka. 

Seul pays occidental industrialisé figurant parmi les plus gros pollueurs, les Etats-Unis figurent à la 20ème place du classement.

Si les 2,4 millions de tonnes de déchets plastique proviennent de Chine, (soit près de 28% du total des déchets à travers le monde), les Etats-Unis, émettent seulement 77 000 tonnes. 


Selon les chercheurs, ces estimations ont malheureusement toutes les chances d'augmenter un peu plus chaque année. Entre 2010 et 2025, près de 155 millions de tonnes de plastique pourraient se retrouver dans les océans.

Source © Atlantico


mardi 1 septembre 2015
La majorité des oiseaux marins à travers le monde a déjà ingurgité du plastique, mais d'ici 2050 quelque 99% des albatros, manchots, mouettes et autres volatiles des mers seront touchés par cette pollution, rapporte une étude publiée lundi.

Les chercheurs ont passé en revue des études réalisées entre 1962 et 2012 sur 135 espèces d'oiseaux marins. En comparaison, une étude datant du début des années 1960 montrait qu'à cette époque moins de 5% des oiseaux marins étaient concernés. 

La pollution au plastique, qui selon les scientifiques atteint en certains endroits le taux record de 580.000 morceaux de plastique par km2, représente un danger pour les oiseaux qui confondent leur surface colorée avec des aliments. Les oiseaux peuvent développer des maladies ou mourir s'ils ingèrent trop de plastique. 

Les chercheurs "prévoient une augmentation de l'ingurgitation de plastique par les oiseaux marins, qui touchera 99% de toutes les espèces d'ici 2050", selon les Comptes rendus de l'Académie nationale américaine des sciences (PNAS).

Résultats frappants

"Une gestion efficace des déchets peut réduire cette menace", notent toutefois les auteurs. "Pour la première fois, nous disposons d'une prévision globale montrant à quelle échelle la pollution au plastique peut avoir des répercutions sur les espèces marines - et les résultats sont frappants", a estimé Chris Wilcox, chercheur à l'Agence nationale australienne pour la science (CSIRO). 

"Les estimations, basées sur des observations historiques, montrent qu'environ 90% des oiseaux marins ont déjà avalé du plastique. C'est énorme et cela montre l'omniprésence de la pollution au plastique", a-t-il ajouté. 

Depuis la commercialisation du plastique dans les années 1950, la production a doublé tous les 11 ans, rappelle l'étude. "Toutefois, entre 2015 et 2026, la quantité totale de plastique produite sera équivalente à tout ce qui a déjà été fabriqué" depuis le début de la production de plastique, ajoutent les chercheurs.

L'océan Austral le plus menacé

La menace "est géographiquement étendue, généralisée et augmente rapidement" estiment-ils, précisant que les zones les plus à risques se situent "aux limites de l'océan Austral, dans la mer de Tasman entre l'Australie et la Nouvelle-Zélande", en raison de la forte pollution au plastique et de la grande diversité d'oiseaux marins dans ce secteur.

Source © Belga


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mardi 16 juin 2015
Depuis vendredi soir, des pancartes avertissent du danger de la baignade.

Vendredi, à 17 h, la préfecture a pris un arrêté interdisant la baignade et la consommation de poisson du lac Chambon. Une cyanobactérie pose problème.

Les amateurs de baignade et de pêche sont avertis : l'arrêté du préfet, vendredi 12 juin, interdit toute consommation de poissons en provenance de la rivière et du lac, ainsi que la baignade sur les communes d'Éguzon, Cuzion et Saint-Plantaire. 

L'affichage est désormais réalisé sur toutes les plages. Ce sont près de 275.360 cellules par millilitres de cyanobactéries, pouvant libérer des neurotoxines ou des hépato-toxines, qui sont à l'origine de l'interdiction. Les activités nautiques de glisse, ski et voile, en revanche, ne sont pas interdites. « Nous appliquons là le principe de précaution, explique Jean-Claude Blin, maire d'Éguzon. Tous les ans, avant que la saison estivale débute, nous demandons à ce qu'une analyse de notre eau soit faite. Et nous répétons l'opération plusieurs fois dans l'été. Là, nous avons eu la désagréable surprise d'avoir un taux trop élevé de cyanobactéries susceptibles de provoquer vertiges, vomissements et troubles de la vision. Donc, dès vendredi soir, nous avons effectivement planté des pancartes pour prévenir le public. »

Quelle est l'origine de cette bactérie ? « Leur présence peut s'expliquer par les températures élevées et l'absence de pluie. Mais il a plu, ce dimanche, et cela peut suffire à éradiquer le problème grâce à l'écoulement des eaux. Nous allons, pour en être sûrs, effectuer de nouvelles analyses demain (aujourd'hui), dont nous aurons les résultats mercredi ou jeudi. »

Même bactérie qu'en 2002 et 2014

Déjà, en 2002 et 2014, ce même phénomène avait été constaté. Sans pour autant perturber plus que cela la saison touristique. « Je profite de l'occasion pour signaler qu'au-delà de cette bactérie qui va disparaître dans les jours qui viennent, nous avons une eau qui est absolument irréprochable en matière de microbisme (staphylocoques, streptocoques…), grâce notamment à tous les efforts qui ont été faits ces dernières années en matière d'assainissement dans les communes riveraines. » Une bonne nouvelle qui, espérons-le, sera agrémentée de la disparition de la cyanobactérie dans les jours prochains. Chaleur et envie de baignade obligent.

Source © la nouvelle republique
dimanche 17 mai 2015
Montréal envisage d'interdire les sacs de plastique, ce qui en ferait la première grande ville canadienne à adopter une telle mesure.

Le maire Denis Coderre est en faveur de l'interdiction mais veut que les consultations publiques, qui viennent de débuter, lui permettent d'obtenir une meilleure compréhension de la situation.

«Nous devons penser globalement mais agir localement, et c'est un de ces enjeux qui exigent que l'on se penche sur l'impact sur la planète», a-t-il dit en entrevue.

L'utilisation des sacs de plastique a grandement diminué au Québec grâce à des campagnes de sensibilisation et la vente de sacs au coût de cinq cents chez certains détaillants. Les Québécois utilisent environ un milliard de sacs de plastique par année, ce qui représente moins de la moitié de ce qui était utilisé il y a dix ans. Cette statistique pèsera lourd dans la balance du maire au moment de prendre sa décision, a-t-il dit.

«Je suis ferme sur ma position dans ce débat, mais je suis prêt à écouter. Devrions-nous les interdire totalement ou chercher une solution entre les deux?», a-t-il précisé en entrevue.

L'Association canadienne de l'industrie des plastiques (ACIP), entre autres, aura l'occasion de partager ses inquiétudes avec la mairie au cours des consultations publiques. Selon Pierre Dubois, un consultant en développement durable avec l'ACIP, l'interdiction est «probablement la pire manière de résoudre les problèmes environnementaux» et créerait d'autres problèmes.

Si le consommateur oublie son sac en tissu, par exemple, le magasin devra fournir un sac de papier ou de plastique à l'empreinte énergétique plus grande. Ceux qui utilisent des sacs à emplettes pour leurs déchets devront acheter plus de sacs réutilisables, a-t-il cité en exemple.

«Changer un type de matériau pour un autre n'est pas nécessairement la panacée», a fait valoir M. Dubois, qui se dit en faveur de l'éducation sur le recyclage et la réutilisation.

Selon lui, les statistiques laissent entendre que 59 % des Québécois réutilisent leurs sacs de plastique au moins une fois ou deux, et que plus du tiers les recyclent. Environ sept personnes sur cent les jettent directement à la poubelle.

Les consultations à Montréal se font dans la foulée de débats similaires aux États-Unis. En octobre dernier, la Californie est devenue le premier État américain à adopter l'interdiction sur les sacs à usage unique après une longue bataille, qui est en partie responsable de l'intérêt de Montréal. Le règlement a toutefois été suspendu en février après qu'un groupe de commerce a rassemblé assez de signatures pour obtenir un référendum, en 2016.

Néanmoins, des règlements pour interdire les sacs à usage unique sont en vigueur dans des centaines de villes en Californie, notamment Los Angeles et San Francisco. Ailleurs aux États-Unis, Chicago, Seattle et Austin ont des politiques semblables.

Au Canada, Leaf Rapids, au Manitoba, est devenue la première ville, en 2007, à interdire les sacs de plastique. Toronto a fait une tentative en 2012 qui a ultimement échoué. Des plus petites villes ont réussi, dont les municipalités de Huntingdon et Deux-Montagnes au Québec.

L'une des objections des commerçants à un tel projet concerne les touristes.

«Pour l'instant, ce n'est peut-être pas la solution à privilégier compte tenu de l'objectif de la Ville de Montréal, qui est plutôt de réduire l'enfouissement, a plaidé Nathalie St-Pierre, vice-présidente du Conseil canadien du commerce de détail. Il faut comprendre que (les sacs de plastique représentent) une infime partie de ce qui est enfoui.»

Le maire Coderre a affirmé que la Ville préparait aussi une nouvelle politique en matière de déchets. Il espère notamment la fin de l'enfouissement pour l'année 2020. Il croit que lorsque Montréal adoptera l'interdiction des sacs de plastique, les villes voisines et les banlieues suivront son exemple.

Les consultations continueront jusqu'en juin et des recommandations seront déposées plus tard dans l'année.

Source © La Presse Canadienne
dimanche 10 mai 2015
Le plus puissant fleuve d’Europe, le Danube, rejette au moins 1.500 tonnes de débris plastiques dans la mer Noire chaque année. C'est ce que révèle une équipe de scientifiques autrichiens après deux ans d'échantillonnage intensif dans le fleuve. 

La plupart des débris rejetés, environ 80 %,  proviennent de sources industrielles qui fabriquent tout au long de son parcours une multitude d'objets de consommation courante tel que des brosses à dents ou encore des jouets pour enfants, rappelle Aaron Lechner, chercheur à l'Université de Vienne, qui a fait équipe avec d'autres scientifiques pour s'attaquer au problème.

"il serait pourtant facile pour ces producteurs de contrôler ces déchets avant leur diffusion dans le fleuve" affirme Aaron Lechner

Même si seulement 0,01 pour cent des matériaux plastiques de production s'échappent dans l'environnement, ils finissent tout de même par créer une énorme quantité de déchets plastiques qui vont persister à le polluer pendant des milliers d'années. Ces déchets seront encore présents dans la nature pour les 100.000 prochaines années, rappelle-t-il, plaidant pour une réglementation urgente et beaucoup plus stricte de toute l'activité plastique en Europe. 

Les recherches de cette équipe ont été soigneusement planifié et exécuté entre 2010 et 2012. Les chercheurs ont analysé plus d'un  millions de gallons d'eau du fleuve Danube à travers leurs écrans d'ordinateur, après les avoir filtré via des filets à mailles fines,  pour tenter de quantifier et de trier la pollution plastique du fleuve. 

Tout l'échantillonnage a été effectué dans le parc national Donauauen, une zone protégée du fleuve, à cheval entre Vienne et Bratislava, et qui abrite l'une des dernières zones humides majeures de l' Europe centrale.

Dans cette zone d'échantillonnage, le Danube est déjà un fleuve très puissant, il fait en moyenne 350 mètres de large et circule à une vitesse moyenne de 1,93 mètres cubes par seconde. C'est l'un des bassins fluviaux le plus international du monde, drainant environ 800 000 kilomètres carrés dans 19 pays pour plus de 81 millions de personnes.   

Les échantillons ont été pris soit de jour, soit de nuit, pour obtenir une estimation précise de la vie larvaire aquatique, qui est connu pour changer au cours des cycles diurnes.

A leur grande surprise quand ils ont combiné les données des deux années d'observation, les scientifiques ont constaté plus de micro-déchets plastiques que de larves de poissons dans les flux du fleuve dans la journée, et l'augmentation de la densité des larves après le crépuscule . 

"Dans l'ensemble, le Danube a transporté plus de plastique en 2010 et plus d' ichthyoplancton en 2012. En outre, la biomasse moyenne en dérive des larves de poisson était inférieure à la masse de plastique dans les deux ans." 

Ces débris de plastique s'écoulent dans la mer Noire à un taux d'environ 4,2 tonnes par jour. 

Pour mieux mesurer l'ampleur des dégâts, chaque année, le montant total des déchets de plastiques drainés par le Danude dans la mer noire est supérieur au montant total estimé de plastiques dans le tourbillon de l'Atlantique Nord, cette grande concentration océanique (appelée 6 éme continent ) de débris flottants plastiques si décriés.

C'est une véritable soupe de plastique que les règlements des pays traversés même dans les pays dits les plus «verts» par leur normes, comme l'Autriche et l'Allemagne, et qui sont bien plus faibles encore dans les pays voisins, ne sont pas prés de d'être régler

Il appelle à un effort important pour identifier les principales sources de pollutions afin d'imposer des limites de rejets significatifs. 

De nombreux gouvernements européens classent en effet les déchets plastiques comme des solides filtrables, et non comme des polluants qui doivent être traités. La distinction est subtile, mais elle fait une énorme différence. 

En vertu des règlements existants en Autriche, par exemple, un gros site de traitement, près de Vienne peut légalement libérer plus de 94 tonnes de plastique par an dans le Danube, c'est l'équivalant d'environ 2,7 millions de bouteilles. 

Les obstacles à une nouvelle législation Européenne sur le rejet de polluants plastiques ne sont que politiques et sont malheureusement soutenus par l'industrie plastique mondiale elle même.

Avec cette nouvelle étude "Le lobby plastique a été vraiment énervé" .

En réponse à l'étude, l'industrie des plastiques a essayé de discréditer la science et même de publier des informations trompeuses. "Par exemple en Autriche ils affirment que ce plastique n'est absolument pas nocif pour le fleuve, et qu'aucun produit chimique n'est rejeté dans l'environnement» rappelle Aaron Lechner. 

"Nous avons même eu des problèmes avec le gouvernement, qui a également remis en question certaines de nos méthodes de recherche. 


© Nature Alerte





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